À l'occasion du 65e anniversaire de l'indépendance du Mali, le Président de la Transition, le Général d’Armée Assimi Goïta, a livré un discours à la nation, réaffirmant la souveraineté du pays et saluant les efforts des Forces Armées et de Sécurité maliennes (FAMa).
En plaçant les FAMa au centre de l'action gouvernementale, le Général Goïta a exprimé l'ambition de construire une armée autonome, capable d’assurer la défense du territoire national et de protéger les intérêts fondamentaux du Mali. Il a également souligné le rôle de l'armée dans la sécurité et la stabilité régionales et internationales.
Le Président a directement évoqué les récentes attaques des groupes terroristes contre des civils, les qualifiant d'actes de « désarroi » face à l'intensification de la pression des FAMa sur le terrain. Il a appelé la population à ne pas céder à la désinformation de ces groupes.
En plaçant les FAMa au centre de l'action gouvernementale, le Général Goïta a exprimé l'ambition de construire une armée autonome, capable d’assurer la défense du territoire national et de protéger les intérêts fondamentaux du Mali. Il a également souligné le rôle de l'armée dans la sécurité et la stabilité régionales et internationales.
Le Président a directement évoqué les récentes attaques des groupes terroristes contre des civils, les qualifiant d'actes de « désarroi » face à l'intensification de la pression des FAMa sur le terrain. Il a appelé la population à ne pas céder à la désinformation de ces groupes.
Autres articles
-
Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»
-
Guerre au Soudan: l'ONU veut organiser des rencontres à Genève avec les belligérants
-
Tanzanie : 2000 personnes tuées lors des récentes violences, selon l'opposition
-
Madagascar: lancement «symbolique» de la concertation nationale, la société civile déçue
-
Mauritanie: six anciens responsables gouvernementaux inculpés pour détournements présumés de fonds publics





Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»


