Le torchon brule entre les députés de Taxawu Sénégal et ceux du Pastef de Ousmane Sonko. En cas de division, des changements vont s’opérer dans le bureau de l’Assemblée nationale dès l’ouverture de la session ordinaire unique prévue dans la première quinzaine du mois d’octobre. Mais, pour Babacar Abba Mbaye, coordonnateur et député de Taxawu, ils sont en train de travailler sur tous les schémas qui sont sur la table. Et aucune démission n’a encore été dite.
« On n'a pas encore de mot d'ordre. Mais, on est en train de travailler sur tous les schémas qui sont sur la table. Les schémas c'est de continuer à travailler avec le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi où on est ou éventuellement d'y sortir. On échange là-dessus. On a encore quelques jours (avant l'ouverture de la session ordinaire unique de l'Assemblée nationale, Ndlr) pour adopter une position », a-t-il dit dans L’Observateur.
Selon lui, toutes les options sont sur la table et rien n'est exclu. « Beaucoup de choses se sont passées au sein de Yewwi. Nous aurons donc forcément à faire le choix, mais un choix en toute loyauté et en toute honnêteté vis-à-vis du groupe parlementaire Yewwi et vis-à-vis de l'opinion. C'est vrai que si nous démissionnons de Yewwi, on ne pourra pas avoir notre groupe parlementaire à l'Assemblée nationale. La loi parle de démissionnaire. Mais, on n'a pas encore dit qu'on va démissionner du groupe parlementaire Yewwi ».
« Il peut y arriver une situation où nous ne sommes pas démissionnaires. Mais que prévoit le Règlement intérieur de l'Assemblée nationale dans ce cas-là ? Je pense que nous sommes en face de beaucoup de vides. Mais, comme je l'ai dit, nous allons esquisser toutes les possibilités. Une fois que nous prendrons une décision, nous l'assumerons », a-t-il affirmé.
« On n'a pas encore de mot d'ordre. Mais, on est en train de travailler sur tous les schémas qui sont sur la table. Les schémas c'est de continuer à travailler avec le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi où on est ou éventuellement d'y sortir. On échange là-dessus. On a encore quelques jours (avant l'ouverture de la session ordinaire unique de l'Assemblée nationale, Ndlr) pour adopter une position », a-t-il dit dans L’Observateur.
Selon lui, toutes les options sont sur la table et rien n'est exclu. « Beaucoup de choses se sont passées au sein de Yewwi. Nous aurons donc forcément à faire le choix, mais un choix en toute loyauté et en toute honnêteté vis-à-vis du groupe parlementaire Yewwi et vis-à-vis de l'opinion. C'est vrai que si nous démissionnons de Yewwi, on ne pourra pas avoir notre groupe parlementaire à l'Assemblée nationale. La loi parle de démissionnaire. Mais, on n'a pas encore dit qu'on va démissionner du groupe parlementaire Yewwi ».
« Il peut y arriver une situation où nous ne sommes pas démissionnaires. Mais que prévoit le Règlement intérieur de l'Assemblée nationale dans ce cas-là ? Je pense que nous sommes en face de beaucoup de vides. Mais, comme je l'ai dit, nous allons esquisser toutes les possibilités. Une fois que nous prendrons une décision, nous l'assumerons », a-t-il affirmé.
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