Arriver à une autosuffisance en oignon à l’horizon 2012, telle est la mission assignée par l’Etat à l’agence de régulation des marchés. Et depuis 2003 une politique est mise en place afin d’atteindre cet objectif. Aujourd’hui le Sénégal n’est pas loin d’arriver à ce stade.
En conférence de presse ce matin, Mbaye Kébé le directeur général de l’Arm affirme que « d’ici 2012 nous atteindrons l’autosuffisance en oignon ». Le ton est déjà donné avec des changements notoires dans le secteur de l’horticulture. En effet renseigne Oumar Samba Ndiaye, directeur de l’exploitation ce secteur souffrait vers le début des années 2000 de différents maux qui ont pour nom manque d’infrastructures de stockage, prix bas du kilogramme d’oignon, importations concurrentes et la barrière tarifaire qu’imposait l’Etat estimée entre 15 000 Frs et 20 000 Frs Cfa par camions. Ces contraintes ont fait qu’à un moment « les producteurs ont failli abandonner la récolte » selon Oumar Samba Ndiaye.
Et en sept ans, notamment de 2003 à aujourd’hui le prix de l’oignon a pu être relevé. « Aujourd’hui le kilogramme d’oignons peut être vendu à 140 Frs Cfa ou même plus alors qu’avant le kilogramme se vendait entre 15 et 20 Frs Cfa ». Aussi, la barrière tarifaire imposée par l’Etat est supprimée et la construction d’une cinquantaine d’infrastructures est programmée et vingt-cinq sont déjà mis sur pied. Dans ce projet « aucun bailleur n’a mis un franc dans ces constructions », indique Mbaye Kébé. Et ces magasins de stockage peuvent même permettre aux producteurs de faire dans l’excédent ayant la possibilité de stocker et de vendre en même temps.
Ces avancées font même dire au président de l’association des producteurs El’ hadji Oumar Bâ que lui et ses amis sont contents de l’Arm et fondent beaucoup d’espoir dans leurs productions.
Par ailleurs, la campagne de cette année est une réussite avec soixante dix sept mille tonnes d’oignons produites.
En conférence de presse ce matin, Mbaye Kébé le directeur général de l’Arm affirme que « d’ici 2012 nous atteindrons l’autosuffisance en oignon ». Le ton est déjà donné avec des changements notoires dans le secteur de l’horticulture. En effet renseigne Oumar Samba Ndiaye, directeur de l’exploitation ce secteur souffrait vers le début des années 2000 de différents maux qui ont pour nom manque d’infrastructures de stockage, prix bas du kilogramme d’oignon, importations concurrentes et la barrière tarifaire qu’imposait l’Etat estimée entre 15 000 Frs et 20 000 Frs Cfa par camions. Ces contraintes ont fait qu’à un moment « les producteurs ont failli abandonner la récolte » selon Oumar Samba Ndiaye.
Et en sept ans, notamment de 2003 à aujourd’hui le prix de l’oignon a pu être relevé. « Aujourd’hui le kilogramme d’oignons peut être vendu à 140 Frs Cfa ou même plus alors qu’avant le kilogramme se vendait entre 15 et 20 Frs Cfa ». Aussi, la barrière tarifaire imposée par l’Etat est supprimée et la construction d’une cinquantaine d’infrastructures est programmée et vingt-cinq sont déjà mis sur pied. Dans ce projet « aucun bailleur n’a mis un franc dans ces constructions », indique Mbaye Kébé. Et ces magasins de stockage peuvent même permettre aux producteurs de faire dans l’excédent ayant la possibilité de stocker et de vendre en même temps.
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