Parmi les 20 candidats à la Présidentielle du 25 février prochain, Anta Babacar Ngom se détache et soutient l’initiative des députés du Parti démocratique sénégalais (Pds) d’exiger une enquête parlementaire visant deux juges du Conseil constitutionnel, accusés de corruption.
« Des rumeurs de report des élections, des allégations de corruption et de manoeuvres politiques malsaines suscitent de vives inquiétudes auprès des Sénégalais.
En tant que Présidente de l'Alternative pour la Rélève Citoyenne (ARC), je tiens à réaffirmer mon engagement indéfectible envers les principes démocratiques qui sont le fondement de notre nation », a-t-elle écrit dans un communiqué.
Elle poursuit: « Le respect des règles démocratiques et le bon déroulement des opérations électorales dans le respect des droits de chaque candidat sont essentiels pour garantir la légitimité et la transparence du processus électoral. Il est impératif que toutes les voix soient entendues et que chaque candidat ait une chance équitable de présenter ses idées et programmes aux électeurs ».
Anta Babacar Ngom « condamne fermement toute tentative de manipulation politique visant à écarter des concurrents par des moyens illégaux ou non éthiques. De telles pratiques sapent la confiance du public dans nos institutions démocratiques et dévalorisent les efforts de ceux qui travaillent sans relâche pour renforcer notre démocratie. Les allégations de corruption et les irrégularités présumées dans le processus de sélection des candidats doivent être prises au sérieux et faire l'objet d'une enquête approfondie ».
Elle apporte ainsi son soutien à la démarche du Pds. « La création d'une commission d'enquête parlementaire par l'Assemblée nationale est une étape positive dans cette direction, et j'espère que cette initiative permettra de faire la lumière sur ces allégations », dit-elle.
Et « lance un appel à tous les candidats de l'opposition pour former un front uni ». Selon elle, « C'est en unissant nos forces que nous pourrons défendre efficacement les principes de notre démocratie et garantir le respect des règles électorales. Il est essentiel que nous évitions les conflits internes et les attaques interpersonnelles et que nous nous concentrions sur notre objectif commun : une élection libre, juste et transparente ».
Elle ajoute: « Je demande instamment à tous les candidats éliminés de ne pas se laisser distraire par des manoeuvres politiques, mais de s'unir et de former un bloc solide pour défier les candidats du régime sortant. Notre unité sera notre force et notre voix collective sera le garant de notre engagement envers une gouvernance démocratique ».
En conclusion, la candidate à la prochaine présidentielle indique: « Enfin, j'exprime l'espoir sincère que les rumeurs de corruption soient infondées. Si ces allégations s'avéraient exactes, il incomberait alors aux responsables de répondre de leurs actes devant le Peuple ».
« Des rumeurs de report des élections, des allégations de corruption et de manoeuvres politiques malsaines suscitent de vives inquiétudes auprès des Sénégalais.
En tant que Présidente de l'Alternative pour la Rélève Citoyenne (ARC), je tiens à réaffirmer mon engagement indéfectible envers les principes démocratiques qui sont le fondement de notre nation », a-t-elle écrit dans un communiqué.
Elle poursuit: « Le respect des règles démocratiques et le bon déroulement des opérations électorales dans le respect des droits de chaque candidat sont essentiels pour garantir la légitimité et la transparence du processus électoral. Il est impératif que toutes les voix soient entendues et que chaque candidat ait une chance équitable de présenter ses idées et programmes aux électeurs ».
Anta Babacar Ngom « condamne fermement toute tentative de manipulation politique visant à écarter des concurrents par des moyens illégaux ou non éthiques. De telles pratiques sapent la confiance du public dans nos institutions démocratiques et dévalorisent les efforts de ceux qui travaillent sans relâche pour renforcer notre démocratie. Les allégations de corruption et les irrégularités présumées dans le processus de sélection des candidats doivent être prises au sérieux et faire l'objet d'une enquête approfondie ».
Elle apporte ainsi son soutien à la démarche du Pds. « La création d'une commission d'enquête parlementaire par l'Assemblée nationale est une étape positive dans cette direction, et j'espère que cette initiative permettra de faire la lumière sur ces allégations », dit-elle.
Et « lance un appel à tous les candidats de l'opposition pour former un front uni ». Selon elle, « C'est en unissant nos forces que nous pourrons défendre efficacement les principes de notre démocratie et garantir le respect des règles électorales. Il est essentiel que nous évitions les conflits internes et les attaques interpersonnelles et que nous nous concentrions sur notre objectif commun : une élection libre, juste et transparente ».
Elle ajoute: « Je demande instamment à tous les candidats éliminés de ne pas se laisser distraire par des manoeuvres politiques, mais de s'unir et de former un bloc solide pour défier les candidats du régime sortant. Notre unité sera notre force et notre voix collective sera le garant de notre engagement envers une gouvernance démocratique ».
En conclusion, la candidate à la prochaine présidentielle indique: « Enfin, j'exprime l'espoir sincère que les rumeurs de corruption soient infondées. Si ces allégations s'avéraient exactes, il incomberait alors aux responsables de répondre de leurs actes devant le Peuple ».
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