Le Conseil national de l’ACT (Alliance pour la Citoyenneté et le Travail) considère les appels au dialogue pour parvenir à la paix politique « comme une hypocrisie manifeste ». « Il a retenu que le seul moyen d’obtenir cette paix est d’appeler le chef de la coalition au pouvoir au respect de la loi et des règles du jeu électoral avant tout déroulement de scrutin », indiquent Abdoul Mbaye et Cie qui regrettent « que ces voix appelant au dialogue ne se fassent entendre qu’après de nombreuses violations de la loi électorale et du processus de vote, également des manquements graves à l’éthique ayant caractérisé la préparation, l’organisation et le déroulement des dernières élections, à l’instar de ce qui s’était produit lors du referendum de février 2016 ».
Exhortant ainsi « toutes les parties de la société sénégalaise se sentant concernées par une paix durable au Sénégal à faire pression sur la majorité au pouvoir et son chef afin que les futures élections ne soient entachées d’aucune irrégularité », l’ancien Premier ministre avant l’avènement d’Aminata Touré, et ses partisans appellent à « l’unité de l’ensemble de l’opposition pour exiger la transparence des prochains votes, et en particulier que tous les citoyens souhaitant accomplir leur devoir de citoyen en participant aux prochaines élections puissent disposer de leurs cartes biométriques à temps ».
Dans ce sillage, le CN de l’ACT exige « l’audit du fichier électoral jusque là systématiquement refusé par le pouvoir, l’application stricte des dispositions légales sanctionnant l’achat des consciences… Le troisième mandat possible de M. Macky Sall ». Ce, d’autant plus qu’il considère « comme moyen important de cette quête de paix politique que toute équivoque sur un troisième mandat possible du Président en exercice soit levée ».
« Il appartient audit Président de saisir le Conseil Constitutionnel pour avis comme il s’était montré prompt à le faire pour confirmer la durée de son mandat en cours de 7 ans. En fonction de la décision-avis du Conseil Constitutionnel, et dans l’hypothèse de la confirmation d’un troisième mandat possible selon la constitution, toutes les dispositions devront être prises (et non sous la forme de simples promesses) pour limiter à deux (2) le nombre de mandats possibles pour le Président en exercice », formule-t-il.
Exhortant ainsi « toutes les parties de la société sénégalaise se sentant concernées par une paix durable au Sénégal à faire pression sur la majorité au pouvoir et son chef afin que les futures élections ne soient entachées d’aucune irrégularité », l’ancien Premier ministre avant l’avènement d’Aminata Touré, et ses partisans appellent à « l’unité de l’ensemble de l’opposition pour exiger la transparence des prochains votes, et en particulier que tous les citoyens souhaitant accomplir leur devoir de citoyen en participant aux prochaines élections puissent disposer de leurs cartes biométriques à temps ».
Dans ce sillage, le CN de l’ACT exige « l’audit du fichier électoral jusque là systématiquement refusé par le pouvoir, l’application stricte des dispositions légales sanctionnant l’achat des consciences… Le troisième mandat possible de M. Macky Sall ». Ce, d’autant plus qu’il considère « comme moyen important de cette quête de paix politique que toute équivoque sur un troisième mandat possible du Président en exercice soit levée ».
« Il appartient audit Président de saisir le Conseil Constitutionnel pour avis comme il s’était montré prompt à le faire pour confirmer la durée de son mandat en cours de 7 ans. En fonction de la décision-avis du Conseil Constitutionnel, et dans l’hypothèse de la confirmation d’un troisième mandat possible selon la constitution, toutes les dispositions devront être prises (et non sous la forme de simples promesses) pour limiter à deux (2) le nombre de mandats possibles pour le Président en exercice », formule-t-il.
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