Des documents et des numéros de téléphone découverts dans la voiture des ravisseurs ont visiblement permis aux éléments de Serval et aux enquêteurs des services secrets de remonter la piste de trois des quatre ravisseurs. Ils seraient, d'après des informations RFI, toujours recherchés actuellement. Les renforts envoyés lundi soir à Kidal par l'armée française participent activement à ces recherches.
Les dix personnes arrêtées dans un premier temps - il y a en a désormais 35 - ne feraient pas partie du commando. Ce sont apparemment des proches ou encore des connaissances des membres supposés du commando.
Les missions menées par les militaires français et des guides de l'armée malienne se sont concentrées dans une zone située à 45 kilomètres à l'est de Kidal - le puits d'Igouzar -, une zone de cantonnement connue d'éléments du Haut Conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA).
Sur les quatre membres soupçonnés de faire partie du commando, trois ont apparemment été questionnés cette année à Kidal par les militaires de Serval, selon le journal Le Monde. L'un de ces hommes est réputé proche d'Aqmi. Il aurait, ces dernières années, fourni des véhicules au groupe terroriste, notamment à la katiba d'Abdelkrim Targui, celle qui vient de libérer les quatres otages d'Arlit et qui détient sans doute un autre Français, Serge Lazarevic.
-
Côte d’Ivoire: la suspension de l’interdiction des deux-roues sur les grands axes d’Abidjan fait débat
-
Présidentielle en Guinée: le parti de l’opposant Cellou Dalein Diallo «ne participera pas à cette mascarade»
-
Cameroun: mouvement de grève des camionneurs dans l’Adamaoua
-
Soudan: des dizaines de civils tués dans une attaque de drones à Kalogi, une école et un hôpital pris pour cible
-
Tentative de coup d’État au Bénin: deux hauts gradés retenus par les mutins libérés, retour au calme à Cotonou




Côte d’Ivoire: la suspension de l’interdiction des deux-roues sur les grands axes d’Abidjan fait débat


