Lors des débats sur le projet de loi de finances 2026 à l'Assemblée nationale, le député de la majorité Abdoulaye Tall n’a pas ménagé ses critiques à l’encontre de l’opposition, qualifiant son comportement d’« irresponsable » et « irrespectueux ».
Le parlementaire a d'abord pointé du doigt l'absence de certains élus de l'opposition lors des travaux préparatoires en commission, les accusant de privilégier la mise en scène médiatique à l'engagement législatif sérieux.
« Vous me permettrez de m’offusquer du comportement d’une certaine opposition d’abord qui fuit les travaux en commission. Parce que je trouve cela irrespectueux. Il est inadmissible, inacceptable. Cette attitude de fuir les travaux quand c'est l'essentiel et de venir ici devant les caméras chercher le buzz pour après essayer de faire la une des journaux. Ça, c'est irresponsable », a-t-il affirmé.
Poursuivant, M. Tall a accusé l'opposition d'être responsable de la situation actuelle du pays et de manquer de courage pour affronter les questions d'actualité devant le peuple. Il a notamment ciblé leur tendance, selon lui, à confondre les questions fondamentales avec les faits divers.
« C'est parce que vous avez plongé ce pays dans ces difficultés que vous avez donné à votre courage de venir répondre aux questions surtout d’actualité, parce que ces des questions d’intérêt général... Et il est assez courageux de venir devant le peuple et devant l'histoire, après avoir plongé ce pays dans ce gouffre. Au 4e sous-sol, de revenir ici après chercher devant les caméras chercher le buzz. Ça, c'est inadmissible, c'est irresponsable. Je le dis et je l'assume », a lancé le député de Pastef.
« Alors, une opposition qui confond, une question d’actualités et fait divers. C'est parce que en réalité, lorsqu'ils étaient là, ils avaient l'habitude d’élaborer des lois aux moindre fait divers. C'est parce que vous l'avez fait que vous ne pouvez pas venir ici répondre devant l’histoire et devant le peuple. Souffrez en silence et laissez-moi parler », a-t-il ajouté.
Malgré cet échange musclé, le parlementaire a soulevé plusieurs questions pour le pays. Il a interpellé sur le blocage d'une initiative privée de construction d'une centrale solaire à Sinthou Malem, demandant au ministre d'intervenir pour "décanté" la situation, s'agissant d'une offre spontanée et non d'un prêt de l'État.
Le député a plaidé pour le renforcement des budgets de la commission nationale des droits de l’homme (CNDH). Il a souligné l'urgence de cette question, rappelant que le Sénégal est passé d'un statut "A" à un statut "B" en la matière, un déclassement qu'il juge alarmant.
« Parce qu’on ne peut pas pour une question aussi important de quête des droits et de promotion des droits de l’homme on nous dit que le Sénégal est relégué en pays B, alors que son statut était de A. C’est une urgence. Parce que tout ce qu’on peu faire en terme d’investissement matériel, quand on échoue sur les droits humain, sur le bilant immatériel, ça va nous rattraper », a affirmé Abdoulaye Tall.
Enfin, le parlementaire a interpellé le ministre sur les questions environnementales, alertant sur l'érosion côtière qui menace la disparition de certains quartiers de la commune de Mbour.
Le parlementaire a d'abord pointé du doigt l'absence de certains élus de l'opposition lors des travaux préparatoires en commission, les accusant de privilégier la mise en scène médiatique à l'engagement législatif sérieux.
« Vous me permettrez de m’offusquer du comportement d’une certaine opposition d’abord qui fuit les travaux en commission. Parce que je trouve cela irrespectueux. Il est inadmissible, inacceptable. Cette attitude de fuir les travaux quand c'est l'essentiel et de venir ici devant les caméras chercher le buzz pour après essayer de faire la une des journaux. Ça, c'est irresponsable », a-t-il affirmé.
Poursuivant, M. Tall a accusé l'opposition d'être responsable de la situation actuelle du pays et de manquer de courage pour affronter les questions d'actualité devant le peuple. Il a notamment ciblé leur tendance, selon lui, à confondre les questions fondamentales avec les faits divers.
« C'est parce que vous avez plongé ce pays dans ces difficultés que vous avez donné à votre courage de venir répondre aux questions surtout d’actualité, parce que ces des questions d’intérêt général... Et il est assez courageux de venir devant le peuple et devant l'histoire, après avoir plongé ce pays dans ce gouffre. Au 4e sous-sol, de revenir ici après chercher devant les caméras chercher le buzz. Ça, c'est inadmissible, c'est irresponsable. Je le dis et je l'assume », a lancé le député de Pastef.
« Alors, une opposition qui confond, une question d’actualités et fait divers. C'est parce que en réalité, lorsqu'ils étaient là, ils avaient l'habitude d’élaborer des lois aux moindre fait divers. C'est parce que vous l'avez fait que vous ne pouvez pas venir ici répondre devant l’histoire et devant le peuple. Souffrez en silence et laissez-moi parler », a-t-il ajouté.
Malgré cet échange musclé, le parlementaire a soulevé plusieurs questions pour le pays. Il a interpellé sur le blocage d'une initiative privée de construction d'une centrale solaire à Sinthou Malem, demandant au ministre d'intervenir pour "décanté" la situation, s'agissant d'une offre spontanée et non d'un prêt de l'État.
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