
L'ancien procureur de la République, Aliou Ndao, connu pour son rôle à la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI), qui avait pour objectif de juger les anciennes figures du régime de Wade, dont Karim Wade, la personnalité la plus en vue de cette époque, siègera désormais au nouveau Parlement. Le tout nouveau député de la majorité présidentielle entend y apporter sa touche personnelle. Il est convaincu que l'Assemblée nationale doit rompre totalement avec les pratiques des parlements précédents.
Pour lui, il est essentiel que chaque député comprenne qu’il est un représentant du peuple et non un porte-parole d’un parti ou d’une personne. "Je souhaite redonner à l’Assemblée nationale une image positive. Il faudra y insuffler tout le professionnalisme nécessaire pour adopter de bonnes lois. Par conséquent, il est crucial d’accompagner l’exécutif dans sa volonté de développement du pays", a-t-il souligné.
Cependant, Aliou Ndao estime qu’un parlementaire peut accomplir cette mission tout en préservant son indépendance. Selon lui, "le Parlement doit désormais être un Parlement de développement, et non un lieu de positionnement ou de querelles. Il est grand temps de mettre fin à ces pratiques."
Concernant les réformes à venir, Aliou Ndao affirme que toutes les réformes judiciaires seront mises en œuvre lorsque la nouvelle Assemblée prendra ses fonctions. "Nous y participerons activement, car nous connaissons bien le milieu judiciaire après plus de 30 ans d'expérience. Nous apporterons notre contribution personnelle", a-t-il précisé.
Pour marquer cette rupture avec les anciennes pratiques, il est, selon lui, impératif de commencer par adopter une image positive du parlementaire. Cela implique de cultiver une image respectée par les citoyens, tout en mettant fin aux querelles personnelles au sein de l’hémicycle. À ce stade, le député, élu sur la liste majoritaire de Pastef, estime que les intérêts supérieurs de la nation doivent primer avant tout
Pour lui, il est essentiel que chaque député comprenne qu’il est un représentant du peuple et non un porte-parole d’un parti ou d’une personne. "Je souhaite redonner à l’Assemblée nationale une image positive. Il faudra y insuffler tout le professionnalisme nécessaire pour adopter de bonnes lois. Par conséquent, il est crucial d’accompagner l’exécutif dans sa volonté de développement du pays", a-t-il souligné.
Cependant, Aliou Ndao estime qu’un parlementaire peut accomplir cette mission tout en préservant son indépendance. Selon lui, "le Parlement doit désormais être un Parlement de développement, et non un lieu de positionnement ou de querelles. Il est grand temps de mettre fin à ces pratiques."
Concernant les réformes à venir, Aliou Ndao affirme que toutes les réformes judiciaires seront mises en œuvre lorsque la nouvelle Assemblée prendra ses fonctions. "Nous y participerons activement, car nous connaissons bien le milieu judiciaire après plus de 30 ans d'expérience. Nous apporterons notre contribution personnelle", a-t-il précisé.
Pour marquer cette rupture avec les anciennes pratiques, il est, selon lui, impératif de commencer par adopter une image positive du parlementaire. Cela implique de cultiver une image respectée par les citoyens, tout en mettant fin aux querelles personnelles au sein de l’hémicycle. À ce stade, le député, élu sur la liste majoritaire de Pastef, estime que les intérêts supérieurs de la nation doivent primer avant tout
Autres articles
-
Afrique du Sud : Thérèse Faye Diouf élue présidente de la Commission des affaires monétaires du Parlement panafricain
-
Rejet de certains articles du RIAN : Ndiaga Sylla évoque une méconnaissance du principe de séparation des pouvoirs
-
Règlement intérieur de l’Assemblée nationale : le Conseil constitutionnel a invalidé 4 dispositions sur 136, selon Ismaël Diallo
-
Reconnaissance de l’État de Palestine : le Sénégal salue une « décision historique » de la France
-
Règlement intérieur de l'Assemblée nationale : Amadou Ba annonce un retour sur la décision du Conseil constitutionnel