
C’est peut-être un massacre encore plus sanglant qui a été évité, car ce n’est pas seulement une voiture chargée d’explosifs qui devait être déclenchée : les trois hommes ont d’abord quitté le véhicule avant de le faire exploser, puis avaient visiblement l’intention de poursuivre l’assaut.
On a retrouvé auprès des corps de deux terroristes des fusils d’assaut et au moins huit grenades offensives, tandis que selon les autorités locales une autre voiture piégée a été retrouvée à proximité et a été désactivée par les policiers.
L’explosion a eu lieu devant le parking adjacent au tribunal d’Izmir. Sur les premières vidéos diffusées, on entend clairement des échanges de coups de feu et les premières images sur internet montraient deux hommes inanimés au sol, lourdement armés.
EI, PKK ou DHKP-C ?
Cinq jours après l’attaque de la discothèque d’Istanbul, la thèse de l’EI a été rapidement évoquée, mais le gouverneur d’Izmir a déjà affirmé lui, que l’attaque portait la signature du PKK : la méthode utilisée et la cible visée ne ressemblent pas à ce qu’a fait le groupe État islamique en Turquie lors des attentats qui lui ont été attribués avec l’utilisation notamment, de voitures piégées. Et plus encore en raison de la cible, un tribunal, donc une institution de l’État turc souvent visée par le PKK.
En revanche une autre hypothèse circule également, c’est celle de mouvements d’extrême-gauche comme le DHKP-C, un autre mouvement classé comme terroriste par les autorités turques, à qui on avait attribué justement une prise d’otage dans un tribunal à Istanbul en 2015.
Puisque l’un des trois responsables de l’attaque d’Izmir s’est enfui il y a maintenant deux « terroristes » en cavale dans le pays avec le tireur de la discothèque Reina. Déjà après l’attentat d’Istanbul, beaucoup de questions avaient été soulevées sur l’incapacité et sur les failles notamment des services de renseignements… C’est d’autant plus le cas aujourd’hui.
On a retrouvé auprès des corps de deux terroristes des fusils d’assaut et au moins huit grenades offensives, tandis que selon les autorités locales une autre voiture piégée a été retrouvée à proximité et a été désactivée par les policiers.
L’explosion a eu lieu devant le parking adjacent au tribunal d’Izmir. Sur les premières vidéos diffusées, on entend clairement des échanges de coups de feu et les premières images sur internet montraient deux hommes inanimés au sol, lourdement armés.
EI, PKK ou DHKP-C ?
Cinq jours après l’attaque de la discothèque d’Istanbul, la thèse de l’EI a été rapidement évoquée, mais le gouverneur d’Izmir a déjà affirmé lui, que l’attaque portait la signature du PKK : la méthode utilisée et la cible visée ne ressemblent pas à ce qu’a fait le groupe État islamique en Turquie lors des attentats qui lui ont été attribués avec l’utilisation notamment, de voitures piégées. Et plus encore en raison de la cible, un tribunal, donc une institution de l’État turc souvent visée par le PKK.
En revanche une autre hypothèse circule également, c’est celle de mouvements d’extrême-gauche comme le DHKP-C, un autre mouvement classé comme terroriste par les autorités turques, à qui on avait attribué justement une prise d’otage dans un tribunal à Istanbul en 2015.
Puisque l’un des trois responsables de l’attaque d’Izmir s’est enfui il y a maintenant deux « terroristes » en cavale dans le pays avec le tireur de la discothèque Reina. Déjà après l’attentat d’Istanbul, beaucoup de questions avaient été soulevées sur l’incapacité et sur les failles notamment des services de renseignements… C’est d’autant plus le cas aujourd’hui.
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