L’homme interpellé mardi 12 octobre à Casablanca est celui qui a commandé 20 conteneurs de sucre. Et c’est dans l’un de ces conteneurs qu’on a retrouvé les 145 kilogrammes de cocaïne, début mai.
Quand l’affaire éclate, il est brièvement arrêté. Aux enquêteurs, il aurait expliqué avoir fait ses commandes en ligne et ne rien connaître de l’origine du produit retrouvé. Après cette défense, il a été relâché.
Pour cause de rendez-vous médicaux à l’étranger, l'homme a formulé une demande de restitution de son passeport et l’a obtenue. C’est ainsi qu’il a quitté le Bénin.
L’affaire s’est aggravée quand les conteneurs bloqués par la brigade économique et financière sont sortis du port. Ça a déclenché des arrestations : le patron de la brigade anti-drogue, un directeur du groupe Bolloré, l’homme d’affaires qui a acheté la cargaison et d’autres sont interrogés, présentés à la Criet (Cour de répression des infractions économiques) et placés en détention provisoire.
Dans ce lot, il manquait l’importateur français. Les critiques se sont alors multipliées sur les réseaux sociaux et un mandat d’arrêt international a été lancé. De bonne source, le Bénin devrait rapidement introduire, auprès des autorités marocaines, une demande d’extradition.
Quand l’affaire éclate, il est brièvement arrêté. Aux enquêteurs, il aurait expliqué avoir fait ses commandes en ligne et ne rien connaître de l’origine du produit retrouvé. Après cette défense, il a été relâché.
Pour cause de rendez-vous médicaux à l’étranger, l'homme a formulé une demande de restitution de son passeport et l’a obtenue. C’est ainsi qu’il a quitté le Bénin.
L’affaire s’est aggravée quand les conteneurs bloqués par la brigade économique et financière sont sortis du port. Ça a déclenché des arrestations : le patron de la brigade anti-drogue, un directeur du groupe Bolloré, l’homme d’affaires qui a acheté la cargaison et d’autres sont interrogés, présentés à la Criet (Cour de répression des infractions économiques) et placés en détention provisoire.
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