Reconnaissant dans son hôte un leader religieux, grand défenseur de la justice sociale, Dilma Rousseff s’est présentée au pape argentin comme une alliée dans la recherche commune de la construction d’un monde meilleur. Un discours d’accueil donc très politique.
En revanche, le pape n’est pas allé sur ce terrain qu’il arpente avec aisance : pas un mot sur la pauvreté , les inégalités sociales, l’ultralibéralisme, la finance dérégulatrice. Son discours d’arrivée a été pastoral et spirituel : donner aux jeunes le goût du Christ et l’élan missionnaire, avec cette très belle phrase : « La jeunesse est la fenêtre à travers laquelle l’avenir entre dans le monde ».
Une jeunesse, a rappelé le pape, qui pose « le grand défi au monde adulte » de « lui proposer les conditions matérielles et spirituelles nécessaires à son épanouissement ».
Simple, affectueux, concret : le pape François a donné au palais de Guanabara l’esprit de ces 28e Journées mondiales de la jeunesse.
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