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Brigitte Macron : Condamnation de celles qui ont propagé "l'ignoble rumeur"

Affaire classée pour Brigitte Macron, cible d'une rumeur transphobe à la fin de l'année 2021. Deux femmes ont été condamnées pour avoir proféré des mensonges sur la première dame de France ainsi que ses enfants.



Rayonnante lors de l'avant-première du long métrage Arrête tes mensonges  adapté du roman de son ami Philippe Besson, Brigitte Macron  avait aussi le coeur soulagé. En effet, le 14 février 2023, une conclusion a été rendue sur l'affaire de la rumeur  qui a durement frappé la première dame de France. Deux femmes ont été condamnées pour avoir affirmé dans une vidéo remontant à décembre 2021 que Brigitte Macron était un homme et pour avoir proféré des mensonges sur les enfants de l'ancienne professeure.
Les deux femmes ont été jugées en janvier par le tribunal judiciaire de Lisieux dans le Calvados. Elles ont été condamnées pour délit de diffamation et complicité de diffamation, ainsi qu'à une amende de 2000 € chacune, à verser 3000 € à Catherine Auzière et son époux et 2000 € pour les frais d'avocat.

RETOUR SUR UNE INVRAISEMBLABLE RUMEUR

À la fin de l'année 2021, une vidéo faisait surface, clamant remettre en cause l'identité de genre de l'épouse d'Emmanuel Macron. Elle clamait que Brigitte Macron, née Trogneux, serait en réalité une femme transgenre  dont le prénom de naissance était Jean-Michel... Une totale fake news qui s'était également déclinée en accusations, plus graves, de pédo-criminalité portées contre la première dame, soulignait l'AFP. Dans un premier temps, la victime a gardé le silence face à cette rumeur transphobe, puis elle a depuis décidé de faire appel à la justice. Brigitte Macron a donc assigné devant le tribunal judiciaire de Paris les deux femmes ayant propagé sur Internet ces fausses nouvelles.
Les deux femmes assignées par Brigitte Macron se présentent comme une médium et une journaliste indépendante. Elles avaient largement contribué à relayer la rumeur et avaient diffusé sur la chaîne YouTube de la médium, le 10 décembre 2021, des photos de la première dame et de sa famille. Elles assuraient que le premier mari de Brigitte Macron n'avait jamais existé, que les documents administratifs avaient été truqués et répandait des rumeurs sur une dénommée Catherine Auzière qui aurait eu une relation avec Brigitte Macron accusée d'être un homme et non une femme. Or il se trouve que Catherine Auzière existe bel et bien et vit en Normandie.
Catherine Auzière et Brigitte Macron s'étaient constituées partie civile à la suite de ces accusations. Les trois enfants de Brigitte Macron  ainsi que son frère s'étaient joints à cette assignation notamment pour des faits d'atteinte à la vie privée, atteinte au droit de la personnalité, violation du droit à l'image.

Purepeople

Vendredi 24 Février 2023 - 10:52


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