Le 26 août dernier, la Commission électorale avait bien publié un communiqué évoquant la date du 24 mars. Mais selon le porte parole du gouvernement, Remis Fulgence Dandjinou, «à aucun moment cette date n'a été validée par le chef de l'Etat et le corps electoral n'a jamais été convoqué».
Jeudi dernier, Halidou Ouédraogo, président de la Commission constitutionnelle, a rencontré le président Roch Marc Christian kaboré. «Il nous a assuré que le principe d'une adoption par voie référendaire était acquis et pour nous, c'est l'essentiel... Dans le contexte particulier qui est le nôtre [en référence aux attaques quasi-quotidiennes des jihadistes NDLR] la date importe peu », déclare le défenseur des droits de l'homme qui ajoute « les élections présidentielle et législatives sont prévues en 2020. Ce référendum se tiendra soit avant, soit en même temps mais pas après ».
Selon une source bien informée, « il est en effet possible que les 3 scrutins se tiennent le même jour ». cette source insiste sur la nécessité de faire des économies, sachant que le référendum pourrait coûter plus de 40 milliards de francs CFA (soit 60 millions d'euros). Autre possiblilité envisagée selon cette source : « coupler la présidentielle avec le référendum en 2020 puis les législatives avec les municipales ».
Jeudi dernier, Halidou Ouédraogo, président de la Commission constitutionnelle, a rencontré le président Roch Marc Christian kaboré. «Il nous a assuré que le principe d'une adoption par voie référendaire était acquis et pour nous, c'est l'essentiel... Dans le contexte particulier qui est le nôtre [en référence aux attaques quasi-quotidiennes des jihadistes NDLR] la date importe peu », déclare le défenseur des droits de l'homme qui ajoute « les élections présidentielle et législatives sont prévues en 2020. Ce référendum se tiendra soit avant, soit en même temps mais pas après ».
Selon une source bien informée, « il est en effet possible que les 3 scrutins se tiennent le même jour ». cette source insiste sur la nécessité de faire des économies, sachant que le référendum pourrait coûter plus de 40 milliards de francs CFA (soit 60 millions d'euros). Autre possiblilité envisagée selon cette source : « coupler la présidentielle avec le référendum en 2020 puis les législatives avec les municipales ».
Autres articles
-
Guerre au Soudan: les États-Unis tentent de relancer les pourparlers de paix
-
Élections en Afrique du Sud: pourquoi l’ANC s'attaque au nom du parti de l’ex-président Jacob Zuma
-
Mali: les partis politiques, de tous bords, demandent un nouveau processus court de transition
-
RDC: nouveaux combats entre les milices progouvernementales et le M23 dans la zone de Goma
-
Devant le Conseil de sécurité, la cheffe de la Monusco tire la sonnette d'alarme sur la situation dans l'est de la RDC