Selon les habitants de Kaya, à une centaine de kilomètres au nord de la capitale, des dizaines de camions sont stationnés à l’intérieur et à la sortie de la ville avec leurs marchandes.
« Il y a des camions qui transportent des containers, de l’hydrocarbure et des vivres », relate Brahima Rabo, président de l'Union des chauffeurs routiers du Burkina. « Il y a beaucoup de braquage et de menaces ente Kaya et Dori. Et entre Dori et Esaakane. Rien que lundi dernier, des hommes armés ont enlevé deux camions qui transportaient des vivres, des produits pharmaceutiques, et un groupe électrogène », précise-t-il.
« C’est très inquiétant. Nous transportons l’hydrocarbure pour les mines, donc on a besoin d’une escorte », insiste l’un des chauffeurs. À la dernière escorte, il y a une quinzaine de jours, les forces de défense ont découvert et détruit plusieurs engins explosifs improvisés sur la route, témoignent certains transporteurs.
Selon un responsable de la société civile de la ville de Kaya, l’axe le plus dangereux couvre les communes de Pissila, Tougouri, Taparko et Yalgho. « C’est très difficile de circuler avec des marchandises dans cette zone », souligne-t-il. Il assure que les concertations sont en cours avec les autorités administratives de la région pour trouver une solution afin que ces camions puissent repartir vers leur destination.
« Il y a des camions qui transportent des containers, de l’hydrocarbure et des vivres », relate Brahima Rabo, président de l'Union des chauffeurs routiers du Burkina. « Il y a beaucoup de braquage et de menaces ente Kaya et Dori. Et entre Dori et Esaakane. Rien que lundi dernier, des hommes armés ont enlevé deux camions qui transportaient des vivres, des produits pharmaceutiques, et un groupe électrogène », précise-t-il.
« C’est très inquiétant. Nous transportons l’hydrocarbure pour les mines, donc on a besoin d’une escorte », insiste l’un des chauffeurs. À la dernière escorte, il y a une quinzaine de jours, les forces de défense ont découvert et détruit plusieurs engins explosifs improvisés sur la route, témoignent certains transporteurs.
Selon un responsable de la société civile de la ville de Kaya, l’axe le plus dangereux couvre les communes de Pissila, Tougouri, Taparko et Yalgho. « C’est très difficile de circuler avec des marchandises dans cette zone », souligne-t-il. Il assure que les concertations sont en cours avec les autorités administratives de la région pour trouver une solution afin que ces camions puissent repartir vers leur destination.
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