L'armée burkinabè et les putschistes ont signé mardi soir à Ouagadougou un accord en cinq points pour éviter un affrontement, accord qu'ils ont présenté devant la presse chez le Mogho Naaba, roi des Mossis (ethnie majoritaire au Burkina Faso), autorité traditionnelle très respectée.
Parmi ces cinq points, le Régiment de Sécurité présidentielle (RSP), auteur du coup du 17 septembre, s'engage à "accepter le cantonnement" dans sa base du camp Naaba Koom II et "céder les poste de garde" qu'il occupe "dans la ville de Ouagadougou". Les forces "loyalistes" ont promis elles de "reculer les troupes de 50 km" et de "garantir la sécurité du personnel (du RSP) et de leurs familles".
Parmi ces cinq points, le Régiment de Sécurité présidentielle (RSP), auteur du coup du 17 septembre, s'engage à "accepter le cantonnement" dans sa base du camp Naaba Koom II et "céder les poste de garde" qu'il occupe "dans la ville de Ouagadougou". Les forces "loyalistes" ont promis elles de "reculer les troupes de 50 km" et de "garantir la sécurité du personnel (du RSP) et de leurs familles".
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