"C’est soit la Guinée n’est pas prête à organiser, soit nous sommes prêts à organiser et nous l’assumerons… Il n’y a pas de co-organisation, 2025 sera la Guinée... ou la Guinée", a tranché le ministre guinéen des Sports, Bantama Sow, présent mercredi devant la presse. "La Guinée ne peut pas se camoufler derrière un pays pour dire que nous allons juste organiser la fête. La Guinée veut profiter de la CAN 2025 pour sortir des problèmes d’infrastructures. Donc nous allons profiter de la CAN 2025 pour réaliser les infrastructures dans les plus grandes villes de notre pays."
A 6 ans de la compétition, il est plutôt logique que la Guinée s’estime prête à construire toutes les infrastructures dans les temps, même pour une CAN à 24 équipes. Avant ce refus catégorique, le président de la Fédération guinéenne (Feguifoot) Antonio Souaré s’était pourtant montré ouvert à une éventuelle co-organisation en déclarant pour Jeune Afrique : "Pourquoi pas ? À ce jour, je n’ai pas eu de contact direct avec Augustin Senghor. L’idée ne vient pas de moi, mais s’il veut m’appeler et me rencontrer, je suis tout à fait ouvert à la discussion." Au vu de la position catégorique du ministre des Sports, cette hypothèse s’annonce aujourd’hui fortement compromise.
⚽[Football]
— STAD'AFRIC (@stadafric) January 24, 2019
🎙 "La Guinée ne va pas se camoufler derrière une nation pour organiser la #CAN2025". Le ministre des Sports de la Guinée, s'exprime au sujet d'une possible co-organisation avec le Sénégal ou une autre nation.#Guinee #Sport #Africa #CAN #Stadafric pic.twitter.com/Pd26mC85Gx
-
En séjour au Sénégal : Paul Pogba visite la grande mosquée de Tivaouane
-
Equipe nationale A féminine : Mame Moussa Cissé en tournée en France depuis une semaine
-
Football : deux joueurs de Premier League arrêtés par la police anglaise pour viol
-
Coupe du Sénégal : Haayo des Agnam prêt pour l’exploit face au Jaraaf
-
9’‘93 sur 100m à 17 ans : l’Américain Christian Miller est déjà plus rapide qu’Usain Bolt au même âge