Conduite par le cardinal Christian Tumi, cette délégation de dignitaires religieux - neuf au total et pour la plupart en service dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest - a fait passer une sorte d'oral aux responsables du Programme des Nations unies pour le Développement.
Au centre de leurs préoccupations, la crédibilité et surtout la faisabilité en contexte de crise -si ce n'est de guerre-, du programme de reconstruction des régions anglophones récemment lancé par le gouvernement et auquel cet organisme onusien a apporté sa caution.
Les responsables du PNUD ont pu justifier les contours et le cadre de leur participation à ce programme dont le coût s'élève à près d'une centaine de milliards de FCFA sur dix ans.
En dépit du scepticisme de certains partenaires du Cameroun dont principalement de l'administration américaine par le biais de son « Monsieur Afrique », le sous-secrétaire d’État Tibor Nagy qui a récemment laissé entendre qu'il n'y a pas de possibilité de mettre en oeuvre ce plan, ces religieux ont dit apporter leur soutien à cette initiative, qui selon eux devrait directement bénéficier aux populations impactées par la crise. Ils ont d'ailleurs invité ces dernières à se montrer coopératives dans la mise en place des différentes phases du programme.
Au centre de leurs préoccupations, la crédibilité et surtout la faisabilité en contexte de crise -si ce n'est de guerre-, du programme de reconstruction des régions anglophones récemment lancé par le gouvernement et auquel cet organisme onusien a apporté sa caution.
Les responsables du PNUD ont pu justifier les contours et le cadre de leur participation à ce programme dont le coût s'élève à près d'une centaine de milliards de FCFA sur dix ans.
En dépit du scepticisme de certains partenaires du Cameroun dont principalement de l'administration américaine par le biais de son « Monsieur Afrique », le sous-secrétaire d’État Tibor Nagy qui a récemment laissé entendre qu'il n'y a pas de possibilité de mettre en oeuvre ce plan, ces religieux ont dit apporter leur soutien à cette initiative, qui selon eux devrait directement bénéficier aux populations impactées par la crise. Ils ont d'ailleurs invité ces dernières à se montrer coopératives dans la mise en place des différentes phases du programme.
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