Ils sont arrivés à Erevan ce samedi 12 juin au soir, via la Géorgie qui a joué un rôle dans la médiation entre ses deux voisins. Quinze prisonniers libérés en échange de la remise par le côté arménien de cartes des zones minées à Aghdam, un des 7 districts dont l’Azerbaïdjan a repris le contrôle au terme de la « seconde guerre du Haut-Karabakh », qu’il a remporté l’automne dernier mais qui est encore cause de nombreuses tensions entre les deux pays, tandis qu’une force d’interposition russe est déployée au Haut-Karabagh depuis la signature de la « déclaration de paix » du 9 novembre dernier.
L’idée d’un échange de prisonniers contre des cartes des zones minées est au cœur des si difficiles négociations entre les belligérants. L’Azerbaïdjan retient encore des dizaines de prisonniers de guerre arméniens tandis que l’Arménie garde secrètes ses cartes de minage de la zone de conflit, causant des morts côté azéri… comme début juin lorsque deux journalistes et un représentant local ont perdu la vie en sautant sur une mine dans le district de Kelbadjar rétrocédé à l'Azerbaïdjan.
La médiation a été menée par les Européens, directement par Charles Michel, le président du Conseil européen, et par les Américains. Une médiation qui augure peut-être du retour des Occidentaux dans le processus de paix au Karabakh, lequel est depuis le conflit de la fin 2020 complètement dominé par la Russie.
L’idée d’un échange de prisonniers contre des cartes des zones minées est au cœur des si difficiles négociations entre les belligérants. L’Azerbaïdjan retient encore des dizaines de prisonniers de guerre arméniens tandis que l’Arménie garde secrètes ses cartes de minage de la zone de conflit, causant des morts côté azéri… comme début juin lorsque deux journalistes et un représentant local ont perdu la vie en sautant sur une mine dans le district de Kelbadjar rétrocédé à l'Azerbaïdjan.
La médiation a été menée par les Européens, directement par Charles Michel, le président du Conseil européen, et par les Américains. Une médiation qui augure peut-être du retour des Occidentaux dans le processus de paix au Karabakh, lequel est depuis le conflit de la fin 2020 complètement dominé par la Russie.
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