Depuis janvier 2025, l’administration américaine intensifie sa traque des migrants en situation irrégulière, avec plus de 1 500 Africains arrêtés, un chiffre dépassant le total de 2024.
Selon Jeune Afrique, les ressortissants de Mauritanie, du Nigeria, du Ghana, de la Guinée, de la RDC et du Sénégal sont particulièrement visés, représentant 3 % des interpellations, loin derrière les Latino-Américains (70 %). Si l’administration justifie ces mesures pour cibler les « pires des pires », selon Kristi L. Noem, secrétaire à la Sécurité intérieure, 71 % des personnes arrêtées, dont 41 % des Africains, n’ont aucun antécédent judiciaire hormis leur statut irrégulier.
Ce durcissement, marqué par une hausse de 1 300 % des arrestations en six mois, suscite de vives inquiétudes.
Selon Jeune Afrique, les ressortissants de Mauritanie, du Nigeria, du Ghana, de la Guinée, de la RDC et du Sénégal sont particulièrement visés, représentant 3 % des interpellations, loin derrière les Latino-Américains (70 %). Si l’administration justifie ces mesures pour cibler les « pires des pires », selon Kristi L. Noem, secrétaire à la Sécurité intérieure, 71 % des personnes arrêtées, dont 41 % des Africains, n’ont aucun antécédent judiciaire hormis leur statut irrégulier.
Ce durcissement, marqué par une hausse de 1 300 % des arrestations en six mois, suscite de vives inquiétudes.
Autres articles
-
Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»
-
Guerre au Soudan: l'ONU veut organiser des rencontres à Genève avec les belligérants
-
Tanzanie : 2000 personnes tuées lors des récentes violences, selon l'opposition
-
Madagascar: lancement «symbolique» de la concertation nationale, la société civile déçue
-
Mauritanie: six anciens responsables gouvernementaux inculpés pour détournements présumés de fonds publics




Est de la RDC : les États-Unis s'en prennent au Rwanda, l'ONU craint un «embrasement régional»


