« On ne se défend pas contre un péril dont on nie l’existence ». La réalité est qu’il y’a une orientation du genre Humain que l’on veut nous faire épouser: Ni homme, ni femme. De l’un et de l’autre. C’est là le péril qui nous guette.
Il faut croire que ce projet est grand. Il suffit de voir ses victoires contre le conservatisme religieux des États occidentaux. Là-bas, “le noyau de la famille a cédé face à la mode du moment”. La conquête a commencé depuis longtemps et est multiforme, multicanale.
Ses manifestations facilement perceptibles, ça et là, ne sont en réalité que l’apparence négligeable.
C’est pourquoi le tollé et la répression s’avéreront peu efficaces quoiqu’il soit nécessaire de réagir. Une action ponctuelle ne peut être une réponse à une stratégie qui s’inscrit dans le long terme.
Il faut une contre-offensive qui s’inscrit dans l’éducation, pas seulement l’instruction. Une éducation qui met en avant nos choix de société, un conservatisme assumée sur nos meilleures valeurs, qui promeut la droiture et la responsabilité, la tolérance dans le périmètre de la morale. La morale n’est pas un gros mot et les manquements des uns et des autres, blâmables du reste, n’interdisent pas son évocation.
L’Etat a le devoir de porter cette contre offensive que nos valeurs communes, au-delà de nos appartenances religieuses, autorisent pour ne pas laisser éclore des courant politiques religieusement colorés.
Si sa laïcité l’inscrit dans cette dynamique internationale, c’est aux Sénégalais convaincus, à travers les structures sociales, de se donner les moyens et d’organiser la contre-offensive. Il apparaît, au regard de l’expérience de ces dernières années, que cette deuxième option est à privilégier.
Porter cette offensive nécessité exemplarité et responsabilité. Il la faut pensée et méthodique.
En réalité, la meilleure manière de conserver nos bonne valeurs, cette part d’humanité qui nous reste, est d’aller civiliser le monde. Prétentieux? Peut-être! Il faut, cependant, croire que c’est la meilleure manière de nous défendre.
L’IMPÉRIALISME DÉFENSIF a justifié l’expansion de Rome. Pourquoi il ne justifierait pas la conservation de ce qui a autorisé naturellement la survie de l’humanité?
Pacifiquement, mais fortement, par l’éducation.
Par Mouhamadou Lamine Bara LO
Il faut croire que ce projet est grand. Il suffit de voir ses victoires contre le conservatisme religieux des États occidentaux. Là-bas, “le noyau de la famille a cédé face à la mode du moment”. La conquête a commencé depuis longtemps et est multiforme, multicanale.
Ses manifestations facilement perceptibles, ça et là, ne sont en réalité que l’apparence négligeable.
C’est pourquoi le tollé et la répression s’avéreront peu efficaces quoiqu’il soit nécessaire de réagir. Une action ponctuelle ne peut être une réponse à une stratégie qui s’inscrit dans le long terme.
Il faut une contre-offensive qui s’inscrit dans l’éducation, pas seulement l’instruction. Une éducation qui met en avant nos choix de société, un conservatisme assumée sur nos meilleures valeurs, qui promeut la droiture et la responsabilité, la tolérance dans le périmètre de la morale. La morale n’est pas un gros mot et les manquements des uns et des autres, blâmables du reste, n’interdisent pas son évocation.
L’Etat a le devoir de porter cette contre offensive que nos valeurs communes, au-delà de nos appartenances religieuses, autorisent pour ne pas laisser éclore des courant politiques religieusement colorés.
Si sa laïcité l’inscrit dans cette dynamique internationale, c’est aux Sénégalais convaincus, à travers les structures sociales, de se donner les moyens et d’organiser la contre-offensive. Il apparaît, au regard de l’expérience de ces dernières années, que cette deuxième option est à privilégier.
Porter cette offensive nécessité exemplarité et responsabilité. Il la faut pensée et méthodique.
En réalité, la meilleure manière de conserver nos bonne valeurs, cette part d’humanité qui nous reste, est d’aller civiliser le monde. Prétentieux? Peut-être! Il faut, cependant, croire que c’est la meilleure manière de nous défendre.
L’IMPÉRIALISME DÉFENSIF a justifié l’expansion de Rome. Pourquoi il ne justifierait pas la conservation de ce qui a autorisé naturellement la survie de l’humanité?
Pacifiquement, mais fortement, par l’éducation.
Par Mouhamadou Lamine Bara LO
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