La Convergence des Cadres Républicains (CCR) a réagi à la convocation de son coordonnateur national, Pape Malick Ndour, par la Section de Recherches de Colobane. Dans un communiqué rendu public, la structure du parti de l’Alliance pour la République (APR) a exprimé sa « vive préoccupation » et sa « profonde indignation » face à ce qu’elle qualifie de démarche « précipitée et injustifiée ».
Selon la CCR, M. Ndour « a reçu sa convocation à peine une heure avant l’audition prévue », sans disposer du temps nécessaire pour préparer sa défense. Le document dénonce une « tentative flagrante d’intimidation politique » et fustige « une dérive autoritaire qui s’installe insidieusement dans le pays ». La CCR estime que « l’appareil judiciaire semble désormais instrumentalisé à des fins partisanes pour réduire au silence l’opposition et étouffer la liberté d’expression ».
Le mouvement considère que « ce n’est pas seulement Pape Malick Ndour que l’on cherche à faire taire », mais « toute une génération consciente, engagée et déterminée à défendre les valeurs républicaines et démocratiques qui ont toujours fait la fierté du Sénégal ».
La Convergence des Cadres Républicains appelle « tous les militants et sympathisants à rester mobilisés, solidaires et vigilants face à cette provocation », et invite « les forces vives et démocratiques du pays à se lever pour défendre l’État de droit ». Le communiqué en appelle également à « la communauté nationale et internationale pour constater et condamner ces pratiques d’un autre âge, indignes d’une République moderne ».
« Trop, c’est trop. Le Sénégal mérite mieux que la peur et le silence », conclut le texte, dans lequel la CCR réaffirme son engagement à défendre « par tous les moyens légaux et légitimes, la liberté, la justice et la dignité » de ses membres et de tous les citoyens « injustement ciblés ».
Selon la CCR, M. Ndour « a reçu sa convocation à peine une heure avant l’audition prévue », sans disposer du temps nécessaire pour préparer sa défense. Le document dénonce une « tentative flagrante d’intimidation politique » et fustige « une dérive autoritaire qui s’installe insidieusement dans le pays ». La CCR estime que « l’appareil judiciaire semble désormais instrumentalisé à des fins partisanes pour réduire au silence l’opposition et étouffer la liberté d’expression ».
Le mouvement considère que « ce n’est pas seulement Pape Malick Ndour que l’on cherche à faire taire », mais « toute une génération consciente, engagée et déterminée à défendre les valeurs républicaines et démocratiques qui ont toujours fait la fierté du Sénégal ».
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