Ministre danois du climat et président du COP, Connie Hedegaard
Le président de la 15e conférence des Nations Unies pour les changements climatiques (COP 15) Connie Hedegaard a cédé son fauteuil. Elle a quitté pour laisser sa place au Premier ministre Danois, Lars Løkke Rasmussen. Un communiqué du bureau de presse de la conférence a donné un motif diplomatique à cette démission. «En raison du nombre sans précédent de chefs d'Etat et de
Gouvernement qui ont commencé à arriver à Copenhague pour participer aux négociations sur le climat, le Premier ministre danois Lars Løkke Rasmussen prend la place de la présidente, Connie Hedegaard pour conduire les débats avec ses collègues autour du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon», a informé un communiqué que nous avons reçu.
Connie Hedegaard a été nommé par le Premier ministre de Danemark Représentant spécial pour continuer à mener des consultations informelles pour de meilleurs résultats du sommet Copenhague.
Le communiqué relève, par ailleurs qu’ "environ 115 chefs d'Etat et de gouvernement prennent part au COP 15 et sont décidés à conclure un ferme accord".
Certaines organisations écologiques et ONG ont estimé que cette démission a été suscitée pour éviter l’échec du sommet. Selon certains responsables : «La présidente de la conférence de Copenhague était très critiquée par les pays en développement, qui estiment depuis le début du sommet qu’elle fait le jeu des pays développés. La fuite d’un projet de texte controversé rédigé par le Danemark avait mis le feu aux poudres dès les premiers jours de la conférence. Les pays du G77 reprochent également à Connie Hedegaard la tenue de réunions bilatérales avec plusieurs chefs d’État, auxquelles leurs délégués ne sont pas conviés».
Les écologistes ont pour leur part, indiqué à travers le site geo.fr que «C’est un coup de théâtre au Bella Center de Copenhague. La ministre danoise du Climat et présidente de la conférence des Nations Unies de Copenhague a donné sa démission, mercredi 16 décembre, sur le coup de midi. On assiste à un télescopage entre l’envie de la présidente d’avancer et le rythme très formel de l’ONU" déclarait quelques minutes avant cette annonce Brice Lalonde, le chef de la délégation française à Copenhague.
La tension monte également à l’extérieur du Bella Center de Copenhague, où la police a arrêté ce matin plus d’une centaine de personnes, parmi le millier de manifestants qui s’étaient massés devant le centre de négociations.
Gouvernement qui ont commencé à arriver à Copenhague pour participer aux négociations sur le climat, le Premier ministre danois Lars Løkke Rasmussen prend la place de la présidente, Connie Hedegaard pour conduire les débats avec ses collègues autour du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon», a informé un communiqué que nous avons reçu.
Connie Hedegaard a été nommé par le Premier ministre de Danemark Représentant spécial pour continuer à mener des consultations informelles pour de meilleurs résultats du sommet Copenhague.
Le communiqué relève, par ailleurs qu’ "environ 115 chefs d'Etat et de gouvernement prennent part au COP 15 et sont décidés à conclure un ferme accord".
Certaines organisations écologiques et ONG ont estimé que cette démission a été suscitée pour éviter l’échec du sommet. Selon certains responsables : «La présidente de la conférence de Copenhague était très critiquée par les pays en développement, qui estiment depuis le début du sommet qu’elle fait le jeu des pays développés. La fuite d’un projet de texte controversé rédigé par le Danemark avait mis le feu aux poudres dès les premiers jours de la conférence. Les pays du G77 reprochent également à Connie Hedegaard la tenue de réunions bilatérales avec plusieurs chefs d’État, auxquelles leurs délégués ne sont pas conviés».
Les écologistes ont pour leur part, indiqué à travers le site geo.fr que «C’est un coup de théâtre au Bella Center de Copenhague. La ministre danoise du Climat et présidente de la conférence des Nations Unies de Copenhague a donné sa démission, mercredi 16 décembre, sur le coup de midi. On assiste à un télescopage entre l’envie de la présidente d’avancer et le rythme très formel de l’ONU" déclarait quelques minutes avant cette annonce Brice Lalonde, le chef de la délégation française à Copenhague.
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