Dans un bureau de vote d'Abidjan, le 11 décembre 2011, un assesseur attend les électeurs. REUTERS/Luc Gnago
Aucune tendance globale n’est donnée dans les états-majors des deux principales formations politiques en compétition, le RDR (Rassemblement des Républicains) et le PDCI (Parti Démocratique de la Côte d'Ivoire).
Ils respectent, en fait, la consigne qui veut que ce soit la seule Commission électorale indépendante qui donne les résultats. Les premiers devraient être connus en milieu de semaine, peut-être même demain.
Le porte-parole de la CEI, Bamba Yacouba, qui intervenait la nuit dernière à la radio-télévision ivoirienne, n’a donné aucune indication sur les tendances, pas même sur le taux de participation. Une participation jugée faible par tous les observateurs. Elle sera largement inférieure à celle de l’année dernière, lors de la présidentielle qui avait été suivie par une grave crise, ayant fait officiellement 3 000 morts.
Mais tous les observateurs affirmaient que la faible participation n’est pas le seul fait du boycott du FPI (Front populaire ivoirien), le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, incarcéré aujourd’hui aux Pays-Bas à la Cour pénale internationale.
Les Ivoiriens sont habituellement peu mobilisés pour les législatives, selon le président de la Commission électorale, Youssouf Bakayoko.
« Mis à part quelques incidents signalés, le scrutin de ce dimanche s’est déroulé dans le calme », affirme le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu, et chef de la mission des Nations unies en Côte d’Ivoire, Bert Koenders.
Source: RFI
Ils respectent, en fait, la consigne qui veut que ce soit la seule Commission électorale indépendante qui donne les résultats. Les premiers devraient être connus en milieu de semaine, peut-être même demain.
Le porte-parole de la CEI, Bamba Yacouba, qui intervenait la nuit dernière à la radio-télévision ivoirienne, n’a donné aucune indication sur les tendances, pas même sur le taux de participation. Une participation jugée faible par tous les observateurs. Elle sera largement inférieure à celle de l’année dernière, lors de la présidentielle qui avait été suivie par une grave crise, ayant fait officiellement 3 000 morts.
Mais tous les observateurs affirmaient que la faible participation n’est pas le seul fait du boycott du FPI (Front populaire ivoirien), le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, incarcéré aujourd’hui aux Pays-Bas à la Cour pénale internationale.
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Source: RFI
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