Les réactions se poursuivent après le coup d’Etat militaire intervenu au Niger, le 26 juillet dernier. Le Bureau Exécutif National du Syndicat Autonome des Magistrats du Niger (BEN/SAMAN) condamne l’intrusion de l’armée dans la scène politique et fustige les « mesures draconiennes prises par la CEDEAO et TUEMOA », dans un communiqué.
Le BEN/SAMAN, « soucieux de la préservation des acquis démocratiques oblenus de hautes luttes et de l'enracinement de l'Etat de droit du Niger, condamne « l’intrusion de l'armée dans la scène politique de notre pays à travers le coup d'Etat survenu le 26 juillet 2023 ».
L’organisation exige « du conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), le retour à l'ordre constitutionnel normal dans un délai raisonnable ».
Dénonçant ce coup d’Etat, les magistrats demandent « aux Forces de défense et de sécurité de se cantonner à leur mission principale, celle d'assurer la sécurité des populations et la défense de l'intégrité du territoire nigeren ».
Tout en leur rappelant que « même dans un régime d'exception, nul ne doit être privé de ses droits et libertés sans une procédure judiciaire suivie dans le respect des lois et instruments juridiques internationaux en vigueur dans notre pays ».
En conclusion, le BEN/SAMAN fustige « les mesures draconiennes prises par la CEDEAO et TUEMOA à l'encontre du Niger et dont les principales victimes seront les populations deja démunies ».
Le BEN/SAMAN, « soucieux de la préservation des acquis démocratiques oblenus de hautes luttes et de l'enracinement de l'Etat de droit du Niger, condamne « l’intrusion de l'armée dans la scène politique de notre pays à travers le coup d'Etat survenu le 26 juillet 2023 ».
L’organisation exige « du conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), le retour à l'ordre constitutionnel normal dans un délai raisonnable ».
Dénonçant ce coup d’Etat, les magistrats demandent « aux Forces de défense et de sécurité de se cantonner à leur mission principale, celle d'assurer la sécurité des populations et la défense de l'intégrité du territoire nigeren ».
Tout en leur rappelant que « même dans un régime d'exception, nul ne doit être privé de ses droits et libertés sans une procédure judiciaire suivie dans le respect des lois et instruments juridiques internationaux en vigueur dans notre pays ».
En conclusion, le BEN/SAMAN fustige « les mesures draconiennes prises par la CEDEAO et TUEMOA à l'encontre du Niger et dont les principales victimes seront les populations deja démunies ».
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