L’Initiative Jog Ngir Senegaal invite la CENA, la DAF, la Direction Générale des élections (DGE) et les partis politiques à s’engager pour la « réalisation, en extrême urgence, de cet audit qui est indispensable pour la crédibilité de l’élection présidentielle du 25 février 2024 », lit-on dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
D’ailleurs, elle rappelle que lors de la « rencontre du 17 janvier 2024 avec les candidats qui n’ont pas été retenus à l’issue du contrôle des parrainages, des experts avaient clairement indiqué que cet audit était bien faisable et avaient rappelé que cela fut le cas en 2000 ».
L’initiative citoyenne de souligner que cet audit devrait, notamment, permettre de s’assurer que « tous ceux qui avaient voté aux élections législatives de 2022, et qui n’ont pas été légalement radiés, figurent bien dans le fichier mis à jour, aux bons lieux et bureaux de vote, et que les nouveaux inscrits lors de la révision exceptionnelle de 2023 y figurent et qu’ils disposent de leurs cartes d’électeurs ».
L’Initiative Jog Ngir Senegaal constate, avec étonnement que depuis le 20 janvier 2024, la « mise en place d’une commission d’enquête parlementaire qui devrait se pencher sur l’allégation de corruption de deux membres du Conseil constitutionnel et la rencontre avec le Président de la République d’une partie des candidats dits spoliés semblent être la principale préoccupation de nombreux partis de l’opposition alors que le plus important, en vue de la crédibilité de l’élection présidentielle qui doit impérativement se tenir le 25 février 2024, se trouve ailleurs ».
Selon elle, le Conseil constitutionnel a pris sa décision. « Tous les responsables politiques savent pertinemment qu’il est peu probable qu’elle revienne sur cette décision à cette étape du processus électoral. Même si nous comprenons le combat que mènent les membres du Parti démocratique sénégalais (PDS) et de leurs alliés, nous tenons à affirmer que le plus important, en ce moment-ci pour le peuple sénégalais, est d’obtenir que l’audit du fichier électoral soit fait par des experts sénégalais, en rapport avec la Direction de l’automatisation des fichiers (DAF) et sous le contrôle de la Commission Electorale nationale autonome (CENA) », peut-on lire dans le communiqué.
D’ailleurs, elle rappelle que lors de la « rencontre du 17 janvier 2024 avec les candidats qui n’ont pas été retenus à l’issue du contrôle des parrainages, des experts avaient clairement indiqué que cet audit était bien faisable et avaient rappelé que cela fut le cas en 2000 ».
L’initiative citoyenne de souligner que cet audit devrait, notamment, permettre de s’assurer que « tous ceux qui avaient voté aux élections législatives de 2022, et qui n’ont pas été légalement radiés, figurent bien dans le fichier mis à jour, aux bons lieux et bureaux de vote, et que les nouveaux inscrits lors de la révision exceptionnelle de 2023 y figurent et qu’ils disposent de leurs cartes d’électeurs ».
L’Initiative Jog Ngir Senegaal constate, avec étonnement que depuis le 20 janvier 2024, la « mise en place d’une commission d’enquête parlementaire qui devrait se pencher sur l’allégation de corruption de deux membres du Conseil constitutionnel et la rencontre avec le Président de la République d’une partie des candidats dits spoliés semblent être la principale préoccupation de nombreux partis de l’opposition alors que le plus important, en vue de la crédibilité de l’élection présidentielle qui doit impérativement se tenir le 25 février 2024, se trouve ailleurs ».
Selon elle, le Conseil constitutionnel a pris sa décision. « Tous les responsables politiques savent pertinemment qu’il est peu probable qu’elle revienne sur cette décision à cette étape du processus électoral. Même si nous comprenons le combat que mènent les membres du Parti démocratique sénégalais (PDS) et de leurs alliés, nous tenons à affirmer que le plus important, en ce moment-ci pour le peuple sénégalais, est d’obtenir que l’audit du fichier électoral soit fait par des experts sénégalais, en rapport avec la Direction de l’automatisation des fichiers (DAF) et sous le contrôle de la Commission Electorale nationale autonome (CENA) », peut-on lire dans le communiqué.
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