« Nous exigeons la levée de l’interdiction de sortie du territoire national pour tous et sans conditions. La libération de tous les otages politiques, seule mesure qui peut éviter à notre pays des déchirures qu’il sera impossible de recoudre », déclare le responsable libéral qui martèle que c’est « la suite logique de la décision du gouvernement de le laisser voyager en Afrique du Sud ». Oumar Sarr qui se réjouit du succès réussit pour lui et ses frères frappés par la même mesure d’interdiction de sortie du territoire, demande que « cette interdiction ne soit pas partielle ou limitée à lui seul ou à un quelconque banni de la République ».
« En m’interdisant la sortie, le gouvernement aurait après avoir refusé d’appliquer l’arrêt de la CEDEAO en date du 22 février 2013, montré son mépris du droit et des institutions africaines », dénonce l’ancien ministre de l’Habitat sous Wade qui revient sur son échappée en Mauritanie. « En réalité, je l’avoue aujourd’hui, c’était pour intensifier la bataille pour l’application de cet arrêt de la CEDEAO que j’avais offert, en quelque sorte, mon corps à la cause en me rendant sans autorisation en Mauritanie ».
Le coordonnateur du PDS dans les colonnes du journal « l’as » qui est plus que convaincu que l’interdiction de sortie du territoire national est absurde, menace : « En allant à Johannesburg, j’aurai pu me rendre dans n’importe quel pays du monde et faire des transactions financières. En me laissant sortir, le gouvernement avoue d’une certaine manière que toutes les dispositions qu’il a prises sont tout à fait absurdes ».
Loin de la levée de sortie du territoire national, le maire de Dagana a obtenu un permis de sortie pour participer au sommet du Parlement Panafricain.
« En m’interdisant la sortie, le gouvernement aurait après avoir refusé d’appliquer l’arrêt de la CEDEAO en date du 22 février 2013, montré son mépris du droit et des institutions africaines », dénonce l’ancien ministre de l’Habitat sous Wade qui revient sur son échappée en Mauritanie. « En réalité, je l’avoue aujourd’hui, c’était pour intensifier la bataille pour l’application de cet arrêt de la CEDEAO que j’avais offert, en quelque sorte, mon corps à la cause en me rendant sans autorisation en Mauritanie ».
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