moustapha Niasse SG AFP (photo: nettali.net)
En effet, déclare l’AFP dans un communiqué, «à la lecture du texte décousu, le manque de vision est évident, tant il apparaît qu’il s’est agi d’une addition de contributions de ministères qui, sous le régime de Me Wade où l’initiative est interdite, n’ont aucune prise sur le réel».
De l’avis des camarades de Niasse «l’intérêt du discours du Premier Ministre ne réside pas sur ce qu’il dit sans y croire lui-même, mais sur ce qu’il tente d’occulter et qui est visible comme le soleil de midi». Il s’agit, selon les progressistes, de la crise multiforme, multidimensionnelle qui frappe notre pays et ses populations qui s’interrogent, s’interrogent et s’interrogent encore.
S’exprimant sur la durée de la lecture de la déclaration de politique générale (plus de quatre heures), le bureau politique soutient que «la litanie qui a été débitée pendant de longues heures confirme l’incapacité des tenants du pouvoir à effectuer un diagnostic précis des maux du Sénégal, à définir ses priorités et à prendre à bras le corps les vraies questions stratégiques et ponctuelles qui assaillent notre cher pays».
Il estime que le gouvernement est tout simplement passé à côté de son sujet, qu’il s’agisse des grands dossiers de l’Aménagement du territoire, de la relance de la production, de l’Agriculture, de l’Industrie, de l’Energie, de l’Hydraulique, des Infrastructures, de la Pêche, du Tourisme, de l’Emploi, de l’Education, de la Santé, de la Culture, du Sport ou de l’Environnement. Quant au coût de la vie et au développement des luttes sociales, les progressistes estiment que le gouvernement ne tente même pas de trouver des pistes de solutions qui puissent faire espérer les populations.
Cependant, affirme le bureau politique de l’AFP, l’ère des hommes providentiels est terminée et bien terminée». Ainsi, précise-t-il, «la notion de leadership doit être relativisée au vu du contexte, en tenant compte de la nécessité de poursuivre la lutte, dans un élan unitaire, solidaire et dans la loyauté, pour aboutir, avec méthode, à un régime politique où le schéma institutionnel garantisse l’équilibre et la séparation des pouvoirs».
De l’avis des camarades de Niasse «l’intérêt du discours du Premier Ministre ne réside pas sur ce qu’il dit sans y croire lui-même, mais sur ce qu’il tente d’occulter et qui est visible comme le soleil de midi». Il s’agit, selon les progressistes, de la crise multiforme, multidimensionnelle qui frappe notre pays et ses populations qui s’interrogent, s’interrogent et s’interrogent encore.
S’exprimant sur la durée de la lecture de la déclaration de politique générale (plus de quatre heures), le bureau politique soutient que «la litanie qui a été débitée pendant de longues heures confirme l’incapacité des tenants du pouvoir à effectuer un diagnostic précis des maux du Sénégal, à définir ses priorités et à prendre à bras le corps les vraies questions stratégiques et ponctuelles qui assaillent notre cher pays».
Il estime que le gouvernement est tout simplement passé à côté de son sujet, qu’il s’agisse des grands dossiers de l’Aménagement du territoire, de la relance de la production, de l’Agriculture, de l’Industrie, de l’Energie, de l’Hydraulique, des Infrastructures, de la Pêche, du Tourisme, de l’Emploi, de l’Education, de la Santé, de la Culture, du Sport ou de l’Environnement. Quant au coût de la vie et au développement des luttes sociales, les progressistes estiment que le gouvernement ne tente même pas de trouver des pistes de solutions qui puissent faire espérer les populations.
Cependant, affirme le bureau politique de l’AFP, l’ère des hommes providentiels est terminée et bien terminée». Ainsi, précise-t-il, «la notion de leadership doit être relativisée au vu du contexte, en tenant compte de la nécessité de poursuivre la lutte, dans un élan unitaire, solidaire et dans la loyauté, pour aboutir, avec méthode, à un régime politique où le schéma institutionnel garantisse l’équilibre et la séparation des pouvoirs».
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