«Nous sommes un parti d’obédience libérale panafricaniste, donc nous sommes issus de la grande famille libérale, s’il doit y avoir de retrouvailles, nous devons être concernés », a affirmé le tout nouveau président du Lrd lors du lancement de ce parti. Poursuivant, Modou Diagne Fada déclare : «Pour le moment, nous ne sommes pas saisis par le Président Macky Sall, nous ne connaissons pas son contenu, le moment venu les instances habilitées de notre parti se prononceront. Mais comprenez que dans notre nouvelle façon de s’opposer, nous devons ériger le dialogue en règle entre le pouvoir et l’opposition. Bien entendu, dialoguer ne veut pas dire entrer dans le gouvernement, nous avons notre bébé qui s’appelle Lrd, et vous allez comprendre qu’un géant est né». Mais il souligne que : «Nous sommes dans l’opposition, nous entendons militer dans l’opposition jusqu'à ce que les sénégalais nous donnent la majorité aux législatives pour imposer la cohabitation au Président Macky Sall».
Abordant la question de son avenir à la tête du groupe parlementaire des Libéraux et Démocrates, Diagne Fada ne laisse persister aucune ambiguïté sur sa décision de poursuivre à le diriger : «La Présidence du groupe parlementaire, beaucoup de gens disent que je dois faire comme Macky Sall, mais je ne suis pas Macky Sall, en plus lui, il a démissionné, alors que moi on m'a chassé. Et, à part Abdoulaye Faye, j'ai accueilli au Pds toutes ces personnes qui sont aujourd’hui dans ce parti. Ma légitimité historique et celle populaire me confèrent le droit de donner mes prises de position. Je n’ai pas été compris et on m’a chassé. Je n’ai que deux limites, la loi et ma conscience, dans cette affaire-là, si j’avais démissionné j’allais tout remettre, mais ils m’ont chassé. Je ne m’accroche à rien. Le groupe parlementaire n’appartient pas au Pds mais à l’Assemblée nationale. Si la loi m’interdit de continuer à diriger cette liste je la rendrai».
Et, même en ne faisant plus partie du Pds, Modou Diagne Fada n’en continue pas moins de réclamer la libération de Karim Wade : «Il n’est plus notre candidat, mais nous continuons à demander sa libération parce qu'il est détenu arbitrairement et devrait être libéré comme demandé par les instances internationales. Et pour tout combat légal qui portera sur la défense des libertés individuelles et collectives, si nous y sommes correctement associés, nous serons prêts à y participer».
Abordant la question de son avenir à la tête du groupe parlementaire des Libéraux et Démocrates, Diagne Fada ne laisse persister aucune ambiguïté sur sa décision de poursuivre à le diriger : «La Présidence du groupe parlementaire, beaucoup de gens disent que je dois faire comme Macky Sall, mais je ne suis pas Macky Sall, en plus lui, il a démissionné, alors que moi on m'a chassé. Et, à part Abdoulaye Faye, j'ai accueilli au Pds toutes ces personnes qui sont aujourd’hui dans ce parti. Ma légitimité historique et celle populaire me confèrent le droit de donner mes prises de position. Je n’ai pas été compris et on m’a chassé. Je n’ai que deux limites, la loi et ma conscience, dans cette affaire-là, si j’avais démissionné j’allais tout remettre, mais ils m’ont chassé. Je ne m’accroche à rien. Le groupe parlementaire n’appartient pas au Pds mais à l’Assemblée nationale. Si la loi m’interdit de continuer à diriger cette liste je la rendrai».
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