Le ministre de l’Environnement et leader du parti Awalé, Dr Abdourahmane Diouf, a appelé à la formation d'un « bloc politique » élargi pour soutenir le Président Bassirou Diomaye Faye, qu'il a présenté comme le Président de tous les Sénégalais et non un président d’un parti politique.
Invité à l’émission « En Vérité » sur Radio Senegal internationale (RSI), M. Diouf a salué la posture de rassemblement du Chef de l'État et a lancé un appel à la réconciliation nationale face à la « haine » et aux fractures sociales qui divisent le pays. Le ministre a insisté sur l'engagement du Président Faye à être le président de toute la République, et non d'un seul parti. M. Diouf a tenu à livrer un message d'apaisement en abordant la question de la justice, particulièrement sensible dans le contexte post-électoral.
« Les questions de justice sont importantes, mais il faut aussi savoir pardonner », a-t-il déclaré. Il a toutefois précisé que le pardon ne devait pas être synonyme d'impunité, mais a mis en garde contre tout excès : « la justice ne doit pas être utilisée pour éliminer un Sénégalais au profit d’un autre. »
Le leader d'Awalé a alerté sur la profondeur des divisions : « La haine est présente partout. Il est grand temps de dépasser cela », a-t-il martelé. Pour consolider l'action du Chef de l'État, Dr Diouf a suggéré la création d'une vaste coalition politique. « Ceux qui étaient dans la coalition Diomaye, Pastef, à Awalé, ou autre un mouvement, ceux qui veulent adhérer, entre autres, on doit faire un bloc politique autour du président Diomaye », a-t-il affirmé.
Il a toutefois insisté pour que ce bloc permette à chaque entité de conserver son identité : « Ce bloc peut-être une grande convention présidentielle où chacun garde son autonomie, exemple : Awalé reste Awalé, Pastef reste Pastef, ainsi de suite. » L'objectif principal de cette structure serait le soutien au président de la République.
Par ailleurs, le ministre de l'Environnement a conclu son intervention par un appel solennel au Président Diomaye, l'exhortant à « assumer pleinement ses responsabilités » pour garantir la paix sociale. « Il ne doit pas accepter que le pays sombre dans la division, ni cautionner une justice des vainqueurs », a soutenu Dr Diouf. Il a souligné que sans le règlement de ces fractures, le Sénégal ne pourrait ni bâtir une nation solide ni parler sereinement de développement.
Pour Abdourahmane Diouf, la paix et la « concordance », valeurs incarnées par son parti, sont les fondations indispensables à la construction nationale, un chantier pour lequel il a assuré le Chef de l'État, qu'il estime être un « homme de paix et de dialogue », du soutien du peuple.
Invité à l’émission « En Vérité » sur Radio Senegal internationale (RSI), M. Diouf a salué la posture de rassemblement du Chef de l'État et a lancé un appel à la réconciliation nationale face à la « haine » et aux fractures sociales qui divisent le pays. Le ministre a insisté sur l'engagement du Président Faye à être le président de toute la République, et non d'un seul parti. M. Diouf a tenu à livrer un message d'apaisement en abordant la question de la justice, particulièrement sensible dans le contexte post-électoral.
« Les questions de justice sont importantes, mais il faut aussi savoir pardonner », a-t-il déclaré. Il a toutefois précisé que le pardon ne devait pas être synonyme d'impunité, mais a mis en garde contre tout excès : « la justice ne doit pas être utilisée pour éliminer un Sénégalais au profit d’un autre. »
Le leader d'Awalé a alerté sur la profondeur des divisions : « La haine est présente partout. Il est grand temps de dépasser cela », a-t-il martelé. Pour consolider l'action du Chef de l'État, Dr Diouf a suggéré la création d'une vaste coalition politique. « Ceux qui étaient dans la coalition Diomaye, Pastef, à Awalé, ou autre un mouvement, ceux qui veulent adhérer, entre autres, on doit faire un bloc politique autour du président Diomaye », a-t-il affirmé.
Il a toutefois insisté pour que ce bloc permette à chaque entité de conserver son identité : « Ce bloc peut-être une grande convention présidentielle où chacun garde son autonomie, exemple : Awalé reste Awalé, Pastef reste Pastef, ainsi de suite. » L'objectif principal de cette structure serait le soutien au président de la République.
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