En réalité, il s’agit de toute une promotion d’élèves surveillants de prison qui a été renvoyée de l'Ecole nationale de Police avant même la fin de leur formation suite à un acte de rébellion. En effet, tout serait parti d’une histoire de bizutage qu’un encadreur policier a voulu faire aux élèves surveillants, ce que ces derniers ont jugé très durs et ont refusé de s’exécuter.
Selon le journal Enquête qui donne l’information, les élèves surveillants de prison se sont sentis alors humiliés et n’ont pas voulu s’exécuter d’autant plus qu’ils sont en fin de formation et n’ont pas besoin de bizutage. Et, la goutte d’eau de trop, c’est qu’au cours de l’exercice, l’encadreur policier concerné aurait reçu une pierre sur la tête.
Voulant ainsi sanctionner le groupe d’élèves soupçonné d’en être l’auteur, les autres membres de la promotion ont voulu se solidariser. Une attitude très mal vue par la Direction de l’Administration pénitentiaire qui a décidé alors de virer toute la promotion.
Interpellés, certains élèves accusent le Colonel Daouda Diop d’avoir passé outre ses compétences. Des accusations dégagées en touche, car selon toujours le même journal, la décision émane du Patron de l’Ecole nationale de Police qui a avisé le Directeur de l’Administration pénitentiaire, le Colonel Daouda Diop, qui notifié la décision aux concernés en leur demandant de rendre le paquetage c’est-à-dire les uniformes et autres et de quitter l’école.
Selon le journal Enquête qui donne l’information, les élèves surveillants de prison se sont sentis alors humiliés et n’ont pas voulu s’exécuter d’autant plus qu’ils sont en fin de formation et n’ont pas besoin de bizutage. Et, la goutte d’eau de trop, c’est qu’au cours de l’exercice, l’encadreur policier concerné aurait reçu une pierre sur la tête.
Voulant ainsi sanctionner le groupe d’élèves soupçonné d’en être l’auteur, les autres membres de la promotion ont voulu se solidariser. Une attitude très mal vue par la Direction de l’Administration pénitentiaire qui a décidé alors de virer toute la promotion.
Interpellés, certains élèves accusent le Colonel Daouda Diop d’avoir passé outre ses compétences. Des accusations dégagées en touche, car selon toujours le même journal, la décision émane du Patron de l’Ecole nationale de Police qui a avisé le Directeur de l’Administration pénitentiaire, le Colonel Daouda Diop, qui notifié la décision aux concernés en leur demandant de rendre le paquetage c’est-à-dire les uniformes et autres et de quitter l’école.
Autres articles
-
Affaire Keur Yeurmandé : le procès de Ndella Madior Diouf et Cie fixé au 3 janvier prochain
-
Redressement fiscal de 41,467 milliards FCFA : le fisc et woodside devant les tribunaux ce 18 décembre
-
Nécrologie : Décès de Coumba Baldé, mère du lutteur Pokola
-
Ziguinchor : un carreleur et un artiste interpellés avec 100 grammes de chanvre indien
-
Matam : un tradipraticien malien arrêté pour « apologie du terrorisme »




Affaire Keur Yeurmandé : le procès de Ndella Madior Diouf et Cie fixé au 3 janvier prochain


