Au moins 25 personnes ont été tuées dimanche dans une explosion près de la cathédrale copte au Caire, a annoncé le ministère égyptien de la Santé dans un communiqué.
L'explosion s'est produite près de la cathédrale copte orthodoxe de Saint-Marc dans le quartier Abbasiya vers 9h, selon le communiqué. Cette attaque présumée n'a pas été revendiquée dans l'immédiat.
Le bilan a progressivement augmenté de cinq à 20, puis 25 morts au minimum au fur et à mesure des opérations de secours sur le site.
Pas de revendication pour l'instant
Aucun mouvement n'a revendiqué dans l'immédiat cette explosion, qui a été entendue dans tout le quartier. Les Coptes orthodoxes d'Egypte constituent la grande majorité de la communauté chrétienne la plus nombreuse du Moyen-Orient et l'une des plus anciennes.
Faiblement représentés au gouvernement, les Coptes s'estiment tenus à l'écart de nombreux postes de la justice, des universités ou encore de la police.
La montée d'un islam rigoriste aggrave leur sentiment de marginalisation, surtout depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février 2011, qui s'est traduite par une dégradation du climat sécuritaire et une visibilité accrue des islamistes.
L'explosion s'est produite près de la cathédrale copte orthodoxe de Saint-Marc dans le quartier Abbasiya vers 9h, selon le communiqué. Cette attaque présumée n'a pas été revendiquée dans l'immédiat.
Le bilan a progressivement augmenté de cinq à 20, puis 25 morts au minimum au fur et à mesure des opérations de secours sur le site.
Pas de revendication pour l'instant
Aucun mouvement n'a revendiqué dans l'immédiat cette explosion, qui a été entendue dans tout le quartier. Les Coptes orthodoxes d'Egypte constituent la grande majorité de la communauté chrétienne la plus nombreuse du Moyen-Orient et l'une des plus anciennes.
Faiblement représentés au gouvernement, les Coptes s'estiment tenus à l'écart de nombreux postes de la justice, des universités ou encore de la police.
La montée d'un islam rigoriste aggrave leur sentiment de marginalisation, surtout depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février 2011, qui s'est traduite par une dégradation du climat sécuritaire et une visibilité accrue des islamistes.
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