Les faits ont été commis dans le huis clos de l’école maternelle Ferdinand-Buisson de Morsang-sur-Orge (Essonne). Ce lundi, sur le temps du midi, une élève de 4 ans aurait subi un viol de la part de deux autres fillettes, âgées de 5 et 7 ans. Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime aurait confié à un surveillant « avoir mal aux fesses ». Des déclarations qui ont poussé la communauté éducative à la faire ausculter par l’infirmière scolaire.
Lors de l’examen, cette dernière remarque des rougeurs autour de l’anus. L’élève de maternelle désigne alors deux élèves. Selon une source proche du dossier, les trois fillettes se seraient mises « à l’abri du regard des adultes sur le temps périscolaire après la restauration scolaire ». Face à la gravité des accusations, l’établissement contacte aussitôt le commissariat de Juvisy-sur-Orge. Pendant que la victime est conduite aux urgences pédiatriques, des policiers interrogent les enfants mises en cause par la victime. Face aux enquêteurs, les deux fillettes reconnaissent les faits mais s’accusent mutuellement. Sollicité, le parquet d’Évry n’a pas répondu à nos demandes.
Une psychologue est attendue ce jeudi au sein de l’établissement. « Des mesures d’appui et d’écoute seront mises en place pour accompagner les enseignants et les élèves qui en feront la demande », précise le rectorat de Versailles. La maire Marianne Duranton (UDI) a prévu de rencontrer les parents de la victime ce mercredi. « Les machines policière et judiciaire font leur travail. Nous, notre rôle est d’être présents pour assurer aux parents que leur fille sera accueillie au mieux à l’école », réagit l’élue au téléphone ce mardi soir.
Dans ce dossier, une deuxième procédure a été ouverte à l’encontre de la mère de l’une des fillettes mises en cause. En sortant de l’entretien avec les policiers, cette dernière lui a asséné une violente claque qui lui a occasionné un saignement de nez. Âgée de 47 ans, la mère a été placée en garde à vue. Sa fille a quant à elle été placée en foyer avec une ordonnance de placement provisoire.
Lors de l’examen, cette dernière remarque des rougeurs autour de l’anus. L’élève de maternelle désigne alors deux élèves. Selon une source proche du dossier, les trois fillettes se seraient mises « à l’abri du regard des adultes sur le temps périscolaire après la restauration scolaire ». Face à la gravité des accusations, l’établissement contacte aussitôt le commissariat de Juvisy-sur-Orge. Pendant que la victime est conduite aux urgences pédiatriques, des policiers interrogent les enfants mises en cause par la victime. Face aux enquêteurs, les deux fillettes reconnaissent les faits mais s’accusent mutuellement. Sollicité, le parquet d’Évry n’a pas répondu à nos demandes.
Une psychologue est attendue ce jeudi au sein de l’établissement. « Des mesures d’appui et d’écoute seront mises en place pour accompagner les enseignants et les élèves qui en feront la demande », précise le rectorat de Versailles. La maire Marianne Duranton (UDI) a prévu de rencontrer les parents de la victime ce mercredi. « Les machines policière et judiciaire font leur travail. Nous, notre rôle est d’être présents pour assurer aux parents que leur fille sera accueillie au mieux à l’école », réagit l’élue au téléphone ce mardi soir.
Dans ce dossier, une deuxième procédure a été ouverte à l’encontre de la mère de l’une des fillettes mises en cause. En sortant de l’entretien avec les policiers, cette dernière lui a asséné une violente claque qui lui a occasionné un saignement de nez. Âgée de 47 ans, la mère a été placée en garde à vue. Sa fille a quant à elle été placée en foyer avec une ordonnance de placement provisoire.
Autres articles
-
Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale
-
Est de la RDC: comment réagit la communauté internationale à l’offensive de l’AFC/M23
-
Commerce: une taxe de 3 euros imposée sur tous les petits colis importés dans l'UE à partir du 1er juillet 2026
-
Tentative de coup d’État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l’appui militaire d’Abuja
-
Cameroun: première audience pour 77 personnes arrêtées après les contestations post-électorales




Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale


