
Aminata Mbengue Ndiaye veut prendre les devants pour éviter la rupture des aliments de bétail. C’est dans ce sens qu’elle a initié un atelier hier, pour se pencher sur la question : «Nous avons aujourd’hui un capital très important de biomasse sur le terrain, et nous nous sommes dit que si nous ne prenons garde, nous risquons d’avoir des problèmes si toutefois nous ne faisons pas tout pour faire la constitution de réserves fourragères», a-t-elle expliqué. Et d’ajouter : «Cet atelier nous permettra d’aboutir à un plan d’action pour la lutte contre les feu de brousse, pour la constitution de réserves fourragères, mais également pour l’enrichissement de ces produits».
Pour arriver à ses fins, la ministre de l’Elevage compte associer à la lutte les industriels qui évoluent dans le secteur de l’agriculture et les paysans. C’est dans cette optique qu’elle révèle : «Nous avons même invité la Compagnie sucrière sénégalaise, parce qu’elle dispose de mélasse, c’est un sous-produit de la fabrication du sucre, elle dispose également de sous-produit de la paille de canne à sucre qui est extrêmement importante. Nous allons aussi disposer de beaucoup de sous-produits qui vont venir de l’agriculture, notamment du mil, du maïs, de tous les autres produits, mais plus particulièrement du riz».
Aminata Mbengue Ndiaye a aussi fait appel aux services qui évoluent dans le secteur pour prendre à bras le corps cette problématique : «Nous allons travailler avec la Saed et l’Isra pour voir comment mettre tout cela ensemble, pour pouvoir aboutir à une disponibilité en capital fourrage et en capital aliment pour le bétail, pour pouvoir sauvegarder notre cheptel», a-t-elle conclu.
Pour arriver à ses fins, la ministre de l’Elevage compte associer à la lutte les industriels qui évoluent dans le secteur de l’agriculture et les paysans. C’est dans cette optique qu’elle révèle : «Nous avons même invité la Compagnie sucrière sénégalaise, parce qu’elle dispose de mélasse, c’est un sous-produit de la fabrication du sucre, elle dispose également de sous-produit de la paille de canne à sucre qui est extrêmement importante. Nous allons aussi disposer de beaucoup de sous-produits qui vont venir de l’agriculture, notamment du mil, du maïs, de tous les autres produits, mais plus particulièrement du riz».
Aminata Mbengue Ndiaye a aussi fait appel aux services qui évoluent dans le secteur pour prendre à bras le corps cette problématique : «Nous allons travailler avec la Saed et l’Isra pour voir comment mettre tout cela ensemble, pour pouvoir aboutir à une disponibilité en capital fourrage et en capital aliment pour le bétail, pour pouvoir sauvegarder notre cheptel», a-t-elle conclu.
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