
Dans la fabrication de produits chimiques de base, l’activité a ralenti en 2019, atteignant une croissance de 3,8% contre 17,2% en 2018, confie Direction de la prévision et des études économiques (Dpee). Dans sa publication intitulée « Situation économique et financière en 2019 et perspectives en 2020 », la Dpee révèle que cette croissance est tirée par les productions d’acide phosphorique (+2,0%) et d’engrais (+9,9%).
Par ailleurs, la Dpee fait savoir qu’il est nécessaire de souligner que ce ralentissement est en partie lié aux travaux d’installation et de mise en service du Train express régional (Ter) qui a impacté le transport lié à l’acheminement de la production vers le port autonome de Dakar. Ainsi, dit le document, la production de la branche a été réorientée pour satisfaire principalement la consommation locale en termes de mise à disposition de fertilisants pour le sous-secteur agricole.
A l’en croire, s’agissant des activités extractives, le ralentissement enregistré dans les industries chimiques et la baisse de la demande mondiale d’or ont impacté l’activité globale dudit secteur. Ainsi, « l’activité des industries extractives a enregistré une croissance de 4,2% contre 18,7% en 2018 ».
« L’amélioration de la production des extractives est tirée par le sel, le phosphate et le zircon, en plus du bon comportement de l’extraction des pierres et sables », souligne la Dpee. Qui confie enfin que l’extraction d’or, pour sa part, s’est contractée de 1,6% en raison de la faible teneur en minerai dans les exploitations.
Lejecos
Par ailleurs, la Dpee fait savoir qu’il est nécessaire de souligner que ce ralentissement est en partie lié aux travaux d’installation et de mise en service du Train express régional (Ter) qui a impacté le transport lié à l’acheminement de la production vers le port autonome de Dakar. Ainsi, dit le document, la production de la branche a été réorientée pour satisfaire principalement la consommation locale en termes de mise à disposition de fertilisants pour le sous-secteur agricole.
A l’en croire, s’agissant des activités extractives, le ralentissement enregistré dans les industries chimiques et la baisse de la demande mondiale d’or ont impacté l’activité globale dudit secteur. Ainsi, « l’activité des industries extractives a enregistré une croissance de 4,2% contre 18,7% en 2018 ».
« L’amélioration de la production des extractives est tirée par le sel, le phosphate et le zircon, en plus du bon comportement de l’extraction des pierres et sables », souligne la Dpee. Qui confie enfin que l’extraction d’or, pour sa part, s’est contractée de 1,6% en raison de la faible teneur en minerai dans les exploitations.
Lejecos
Autres articles
-
Microfinance : une hausse de 20,7 % des bénéfices en 2023, portée par le crédit
-
L’ancien PM Abdoul Mbaye exige la lumière sur l’affaire Arcelor Mittal
-
Digitalisation des amendes forfaitaires : 164 014 attestations traitées, 841,9 millions FCFA collectés par les forces de sécurité
-
Missions à l’étranger : Sonko annonce la rationalisation pour réduire les dépenses publiques
-
Sénégal – Union européenne : Un premier dialogue stratégique avec les nouvelles autorités