Lors de la séance plénière consacrée à la seconde loi de finances rectificative (LFR 2), le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a dévoilé le plan de recrutement de l’État pour l’année 2026. Près de 18 000 nouveaux postes seront créés, représentant un investissement budgétaire de 75,6 milliards de FCFA.
Le gouvernement sénégalais mise sur un renforcement massif de ses effectifs pour l'exercice à venir. Selon les chiffres communiqués par le ministre Cheikh Diba devant les parlementaires, cette vague de recrutements vise à combler les besoins en ressources humaines dans les secteurs régaliens et sociaux, tout en préparant la relève administrative du pays.
La répartition des postes montre une concentration des efforts sur les services de base et la protection du territoire. L’Éducation nationale se taille la part du lion avec plus de 30 % des prévisions de recrutement avec « 5 700 maîtres et professeurs contractuels, suivi des Forces armées avec 4 391 recrues, Intérieur, 2 796 agents, Santé 2 500 agents, Justice 850 agents, Formation professionnelle 500 agents, Environnement 300 agents et les Finances et Budget avec 205 agents ».
D’autres départements tels que l’Agriculture, la Pêche, l’Énergie et l’Hydraulique bénéficieront également de renforts. Par ailleurs, 194 élèves intégreront l’École nationale d’administration (ENA) pour assurer le renouvellement des cadres supérieurs de l’État.
Un équilibre entre besoins sociaux et rigueur budgétaire
L’impact financier de cette mesure est évalué à 75,568 milliards de FCFA. Pour le ministre Cheikh Diba, cette enveloppe illustre un effort budgétaire conséquent dans un contexte global de rationalisation des dépenses publiques. L’objectif est de répondre aux besoins pressants de l’administration tout en maintenant la trajectoire de maîtrise budgétaire affichée par le gouvernement.
Le gouvernement sénégalais mise sur un renforcement massif de ses effectifs pour l'exercice à venir. Selon les chiffres communiqués par le ministre Cheikh Diba devant les parlementaires, cette vague de recrutements vise à combler les besoins en ressources humaines dans les secteurs régaliens et sociaux, tout en préparant la relève administrative du pays.
La répartition des postes montre une concentration des efforts sur les services de base et la protection du territoire. L’Éducation nationale se taille la part du lion avec plus de 30 % des prévisions de recrutement avec « 5 700 maîtres et professeurs contractuels, suivi des Forces armées avec 4 391 recrues, Intérieur, 2 796 agents, Santé 2 500 agents, Justice 850 agents, Formation professionnelle 500 agents, Environnement 300 agents et les Finances et Budget avec 205 agents ».
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