
Pas question de remettre en cause le cap choisi : François Hollande assume sa ligne politique et préfère ignorer les critiques. C'est du moins ce qu'il a choisi de confier au journaliste Bruno Dive, de "Sud Ouest", vendredi 3 mai, à l'approche du premier anniversaire de son arrivée à l'Elysée. Les sondages ne l'inquiètent pas. "Ma cote, qui est très basse, correspond à peu près à mon résultat du premier tour", juge François Hollande. "Si je n’écoutais que les commentaires, je n’avancerais pas."
Alors que la crise économique ne semble pas vouloir s'éloigner, François Hollande l'admet : "C’est plus difficile que ce que j’avais imaginé." Mais il considère avoir réalisé "tout ce qu’on peut faire pendant la première année, tant qu’on a encore de la légitimité et de la force". Le tempo du quinquennat reste le même : "Deux ans de redressement, trois ans de dépassement." Encore quatre ans, donc pour redresser la France. Le président veut le croire : "Le temps nous donnera raison."
-
Starmer et Zelensky saluent l'ultimatum de Trump à la Russie sur le cessez-le-feu
-
L’envoyé spécial de Trump se rendra à Gaza pour inspecter les sites de distribution alimentaire
-
Ukraine: des missiles et drones russes frappent Kiev dans une importante attaque meurtrière
-
Les Israéliens mal informés sur la situation humanitaire à Gaza: «On a perdu l'empathie»
-
Gaza : l’ONU demande un cessez-le-feu permanent et juge insuffisantes les « pauses tactiques » d’Israël