Un Gabonais votant dans un bureau à Moulia, le 17 décembre 2011. AFP/ WILS YANNICK MANIENGUI
Le rapport des observateurs de l’Union africaine mentionne une longue liste de dysfonctionnements. Pêle-mêle, on peut citer l’ouverture tardive de la plupart des bureaux de vote, l’absence des représentants des candidats dans certains bureaux, la non distribution de plusieurs cartes d’électeurs, la mauvaise qualité de l’encre indélébile, ainsi que l’insuffisance de l’éclairage pendant le dépouillement.
L’ancien Premier ministre malien Ibrahim Boubacar Keïta, chef de la mission, conclut tout de même que le scrutin reste valable : « En dépit de l’insuffisance relevée, la mission de l’Union africaine est d’avis qu’elle ne soit pas de nature à entacher le résultat du scrutin. Elle estime par conséquent que les élections se sont déroulées sur les principes régissant les élections démocratiques en Afrique ».
De leur côté, les observateurs de la CEEAC regroupant dix Etats d’Afrique Centrale, ont effectué quasiment le même constat. Ils invitent les candidats à utiliser les voix légales pour d’éventuels recours. Paul Ngarambe est à la tête de cette mission : « La CEEAC recommande que les réclamations éventuelles après la publication des résultats, se fassent conformément aux normes relatives au contentieux électoral ».
Le faible taux de participation n’a pas échappé au regard des observateurs.
Source: RFI
L’ancien Premier ministre malien Ibrahim Boubacar Keïta, chef de la mission, conclut tout de même que le scrutin reste valable : « En dépit de l’insuffisance relevée, la mission de l’Union africaine est d’avis qu’elle ne soit pas de nature à entacher le résultat du scrutin. Elle estime par conséquent que les élections se sont déroulées sur les principes régissant les élections démocratiques en Afrique ».
De leur côté, les observateurs de la CEEAC regroupant dix Etats d’Afrique Centrale, ont effectué quasiment le même constat. Ils invitent les candidats à utiliser les voix légales pour d’éventuels recours. Paul Ngarambe est à la tête de cette mission : « La CEEAC recommande que les réclamations éventuelles après la publication des résultats, se fassent conformément aux normes relatives au contentieux électoral ».
Le faible taux de participation n’a pas échappé au regard des observateurs.
Source: RFI
Autres articles
-
Congo-Brazzaville: cinq jours sans électricité dans la capitale
-
Canicule en Guinée: «Il va falloir faire des choses concrètes»
-
Mali: la Cour constitutionnelle demande des comptes sur les émoluments des membres du CNT
-
Mali : la Cour constitutionnelle «incompétente» sur la suspension des activités des partis
-
Bénin: la Criet ouvre le procès de 42 personnes interpellées lors de l’élection présidentielle de 2021