Au Gabon, le président du parti les Démocrates, Guy Nzouba Ndama lance une pétition nationale contre la dépénalisation de l'homosexualité.
L'ancien président de l'assemblée nationale et ancien membre de la coalition de Jean Ping estime que le parlement a tout fait sauf traduit la volonté du peuple en dépénalisant l'homosexualité au Gabon.
Les députés gabonais avaient voté fin juin la dépénalisation des rapports homosexuels, annulant un amendement du code pénal voté un an plus tôt qui condamnait l'homosexualité comme une « atteinte aux mœurs ».
Contrairement à de nombreux pays d'Afrique subsaharienne, qui interdisent ou répriment les rapports homosexuels, aucune loi au Gabon ne mentionnait explicitement l'homosexualité avant qu'un amendement au code pénal ne soit voté par le Sénat en juillet 2019, interdisant les « relations sexuelles entre personnes de même sexe ».
L'ancien président de l'assemblée nationale et ancien membre de la coalition de Jean Ping estime que le parlement a tout fait sauf traduit la volonté du peuple en dépénalisant l'homosexualité au Gabon.
Les députés gabonais avaient voté fin juin la dépénalisation des rapports homosexuels, annulant un amendement du code pénal voté un an plus tôt qui condamnait l'homosexualité comme une « atteinte aux mœurs ».
Contrairement à de nombreux pays d'Afrique subsaharienne, qui interdisent ou répriment les rapports homosexuels, aucune loi au Gabon ne mentionnait explicitement l'homosexualité avant qu'un amendement au code pénal ne soit voté par le Sénat en juillet 2019, interdisant les « relations sexuelles entre personnes de même sexe ».
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