Une femme déplacée avec son enfant devant les forces du M23 dans le Nord-Kivu, le 26 juillet 2012. AFP PHOTO/PHIL MOORE
L'absence du président rwandais Paul Kagame à ce troisième sommet des Grands Lacs laissait présager un nouvel échec. Finalement, à l'issue de la réunion de ce samedi, les quatre chefs d'Etat présents ont dû se contenter de cosigner un communiqué à minima.
Le texte publié par la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs indique tout juste que la force neutre chargée de contrecarrer les groupes armés de l'est de la RDC sera déployée sous un mandat de l'Union Africaine et des Nations unies.
En revanche, d'épineuses questions restent sans réponse. Quels pays, en dehors de la Tanzanie, vont envoyer leurs soldats sur les collines du Nord-Kivu ? Qui va financer le déploiement de cette force qui pourrait atteindre les 4 000 hommes ? Quel sera le rôle des casques bleus de la MONUSCO ?
Si l'ambition est de mettre sur place cette force dans trois mois au plus tard, la porte n'a pas été fermée à une solution négociée et Yoweri Museveni a été chargé de poursuivre les discussions avec les rebelles du M23.
Pour faire le point des avancées et des blocages, un nouveau sommet a été programmé dans un mois. En attendant, les chefs d'Etat de la région devraient se retrouver le 27 septembre à New York, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, pour une réunion avec les membres du Conseil de sécurité des Nations unies.
Source: RFI
Le texte publié par la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs indique tout juste que la force neutre chargée de contrecarrer les groupes armés de l'est de la RDC sera déployée sous un mandat de l'Union Africaine et des Nations unies.
En revanche, d'épineuses questions restent sans réponse. Quels pays, en dehors de la Tanzanie, vont envoyer leurs soldats sur les collines du Nord-Kivu ? Qui va financer le déploiement de cette force qui pourrait atteindre les 4 000 hommes ? Quel sera le rôle des casques bleus de la MONUSCO ?
Si l'ambition est de mettre sur place cette force dans trois mois au plus tard, la porte n'a pas été fermée à une solution négociée et Yoweri Museveni a été chargé de poursuivre les discussions avec les rebelles du M23.
Pour faire le point des avancées et des blocages, un nouveau sommet a été programmé dans un mois. En attendant, les chefs d'Etat de la région devraient se retrouver le 27 septembre à New York, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU, pour une réunion avec les membres du Conseil de sécurité des Nations unies.
Source: RFI
Autres articles
-
Algérie: vote attendu au Parlement sur le projet de criminalisation de la colonisation
-
Législatives en Côte d'Ivoire: émergence d'ADCI, une troisième force d'opposition
-
Les États-Unis mènent des vols de surveillance au-dessus du Nigeria
-
Au Bénin, un député en détention provisoire dans le cadre de l'enquête sur le coup d'État avorté
-
Le gouvernement libyen confirme la mort du chef d'état-major des armées dans un accident d'avion près d'Ankara




Algérie: vote attendu au Parlement sur le projet de criminalisation de la colonisation


