Ils ont sillonné la Guinée-Bissau d’est en ouest ces deux dernières. Les candidats à la présidence étaient donc très attendus ce vendredi à Bissau. Umaro Sissoco Embaló a rassemblé ses partisans dans un espace vert du nord de la capitale, réaffirmant qu’il remportera le scrutin « sans aucun doute » dès le premier tour.
Dans un quartier voisin, Fernando Dias tenait son meeting, entouré des cadres du PAIGC, le parti historique qui lui apporte son soutien officiel, et donc, sa base électorale. Fernando Dias promet d’appliquer le programme politique du PAIGC s’il est élu président.
Ce face-à-face Embaló-Dias concentre toutes les attentions, les autres candidats en dehors des radars. Parmi eux : l’ancien premier ministre Baciro Dja et l’ancien chef d’État Jose Mario Vaz ou Jomav qui promet de revenir pour, dit-il, « terminer le travail inachevé ».
Les élections dominent les conversations dans les cafés, taxis et marchés. Les Bissau-guinéens réclament, des écoles, des hôpitaux dignes et des salaires payés à temps, et surtout la paix.
Umaro Sissoco Embaló peut se targuer d’être seulement le deuxième président à être allé au bout d’un mandat complet, malgré trois tentatives présumées de coup d'État.
Ce vendredi 21 novembre, des militaires patrouillaient dans les rues de Bissau, les grands axes étaient bloqués et l’espace aérien a été fermé, suspendant tous les vols civils, privés et commerciaux pour samedi et dimanche.
Dans un quartier voisin, Fernando Dias tenait son meeting, entouré des cadres du PAIGC, le parti historique qui lui apporte son soutien officiel, et donc, sa base électorale. Fernando Dias promet d’appliquer le programme politique du PAIGC s’il est élu président.
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