« Je déclare ouverts les travaux de la session extraordinaire », a annoncé jeudi le président de l’Assemblée nationale, Claude Kory Kondiano, devant un hémicycle plein au trois quarts.
A l'ordre du jour : la révision du code électoral. Le texte fait débat entre les parlementaires, comme le rappelle dans son discours le président de l'Assemblée nationale. « Nous devons nous efforcer de doter notre pays de lois qui soient acceptées par tous parce qu’inclusives. Je vous invite donc à transcender nos divergences dans l’intérêt supérieur de notre pays », a lancé Claude Kory Kondiano à la tribune.
« Des consultations informelles ont permis de surmonter certains obstacles »
Lors de la dernière session, le texte n'a pas pu être adopté. Aboubacar Sylla, le porte-parole de l'opposition, explique ce retard : « Trois fois, il y a eu des blocages à l’Assemblée nationale à la dernière session parce que certaines personnes, certains députés ont voulu remettre en cause les acquis qui découlaient déjà de l’accord du 12 octobre 2016 ». Cet accord politique prévoyait l'organisation des élections locales et communales en février 2017, à condition de modifier au préalable le code électoral.
Aujourd'hui, le texte de la réforme électorale devrait être adopté. Damaro Camara, le président du groupe de la majorité présidentielle, rappelle toutefois que « si un texte ne devient pas une loi, le débat continue. » Et de concéder : « Maintenant il y aura débat, mais entretemps, il y a eu des consultations informelles qui ont permis de surmonter certains obstacles. » Selon le député, les élections pourront être organisées d'ici juin 2017.
A l'ordre du jour : la révision du code électoral. Le texte fait débat entre les parlementaires, comme le rappelle dans son discours le président de l'Assemblée nationale. « Nous devons nous efforcer de doter notre pays de lois qui soient acceptées par tous parce qu’inclusives. Je vous invite donc à transcender nos divergences dans l’intérêt supérieur de notre pays », a lancé Claude Kory Kondiano à la tribune.
« Des consultations informelles ont permis de surmonter certains obstacles »
Lors de la dernière session, le texte n'a pas pu être adopté. Aboubacar Sylla, le porte-parole de l'opposition, explique ce retard : « Trois fois, il y a eu des blocages à l’Assemblée nationale à la dernière session parce que certaines personnes, certains députés ont voulu remettre en cause les acquis qui découlaient déjà de l’accord du 12 octobre 2016 ». Cet accord politique prévoyait l'organisation des élections locales et communales en février 2017, à condition de modifier au préalable le code électoral.
Aujourd'hui, le texte de la réforme électorale devrait être adopté. Damaro Camara, le président du groupe de la majorité présidentielle, rappelle toutefois que « si un texte ne devient pas une loi, le débat continue. » Et de concéder : « Maintenant il y aura débat, mais entretemps, il y a eu des consultations informelles qui ont permis de surmonter certains obstacles. » Selon le député, les élections pourront être organisées d'ici juin 2017.
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