« Nous avons minutieusement préparé les prochaines élections. [...] Une équipe dynamique et jeune a pu installer les structures du parti dans les 602 collectivités locales et nous seront présents dans des listes, soit seuls, soit en coalition. Cette coalition est très large, ce qui nous donne d’ailleurs de très grands espoirs à l’occasion de ces élections locales. […] La modification du mode de scrutin n’a rien à voir avec une avancée démocratique. C’est une tactique politicienne destinée à éliminer des personnalités politiques considérées comme les concurrents les plus sérieux de Macky Sall dans la perspective 2017. »
Ancien Premier ministre d’Abdoulaye Wade de 2002 à 2003, Idrissa Seck, avec son parti, le Rewmi, faisait partie de la coalition Benno Bokk Yakaar, qui a porté Macky Sall au pouvoir en mars 2012. Mais depuis un an, Idrissa Seck, se pose en opposant inflexible. Longtemps pressenti comme étant un héritier d’Abdoulaye Wade, Idrissa Seck préfère aujourd’hui garder ses distances avec le Parti démocratique sénégalais. Et à l’approche des élections municipales et communales du 29 juin 2014, le maire de Thiès constate avec amertume l’émergence, sur la scène politique locale, d’une dynastie « Faye-Sall », du nom de la famille présidentielle. Idrissa Seck répond aux questions de Bineta Diagne, notre correspondante à Dakar.
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