Meurtre avec barbarie, c’est le crime qui risque d’être collé aux gardes pénitentiaires de Rebeuss dans le cadre de la mort du détenu Maleyni Sané. Les premiers éléments de l’enquête de la SU attestent que ce dernier a été tout bonnement tué. Pire, le certificat de genre de mort établi par le Pr Gisèle Woto Gaye, fait état de la « présence de multiples plaies au niveau du dos, du cou et du cuir chevelu’ qui ont participé à une « mort par strangulation dans un contexte de coups et blessures par objet contendant ». A cette horreur s’ajoute selon le journal « libération », des « blessures au niveau des poignets ».
Un ensemble d’actes de barbarie qui conduisent à cette thèse effroyable, « bâillonné, les mains attachées au dos, Cheikh Maleyni Sané a été battu à mort » poursuit la source qui précise qu’en dehors des constats de l’enquête et des éléments du certificat de genre de mort, les éléments de la SU ont recueilli un témoignage capital qui a fini d’enfoncer les gardes pénitentiaires. En effet, selon cet interlocuteur des policiers disent nos confrères, « Cheikh Maleyni Sané a été effectivement extirpé de sa cellule par deux (2) matons la nuit de la commission des faits ».
Toujours au chapitre des éléments qui chargent l’administration pénitentiaires, les enquêteurs ont aussi compilé plusieurs autres faits : Il demeure constant que Cheikh Maleyni Sané est entré indemne à Rebeuss après avoir été épinglé avec des (2) présumés complices par l’Office Centrales de Répression du Trafic Illicite de Stupéfiants (OCRTIS) pour détention de chanvre indien. En effet, ces deux (2) derniers sont unanimes à soutenir que le défunt ne présentait aucune blessure au moment d’être déplacé à ladite MAC.
Un ensemble d’actes de barbarie qui conduisent à cette thèse effroyable, « bâillonné, les mains attachées au dos, Cheikh Maleyni Sané a été battu à mort » poursuit la source qui précise qu’en dehors des constats de l’enquête et des éléments du certificat de genre de mort, les éléments de la SU ont recueilli un témoignage capital qui a fini d’enfoncer les gardes pénitentiaires. En effet, selon cet interlocuteur des policiers disent nos confrères, « Cheikh Maleyni Sané a été effectivement extirpé de sa cellule par deux (2) matons la nuit de la commission des faits ».
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