Avant la pandémie, la basilique Saint-Pierre accueillait pour la Veillée Pascale environ 10 000 personnes du monde entier. Samedi 3 avril au soir, entouré des concélébrants et d’une centaine de fidèles, tous distanciés et masqués, le pape a prononcé son homélie devant l’autel de la chaire, décorée de roses aux couleurs pastel.
L'espoir de la renaissance
Il a rappelé la présence, toujours dramatique, du coronavirus. Mais a invité chacun à concevoir l’avenir comme l’espoir de la renaissance : « En ces sombres mois de pandémie nous entendons le Seigneur ressuscité qui nous invite à nous relancer. (…) Sœur, frère, tes attentes ne seront pas déçues, tes larmes seront séchées, tes peurs seront vaincues par l’espérance. Parce que le Seigneur te précède toujours et avec lui la vie recommence ».
Ce dimanche, le pape François célébrera, également à l’intérieur de la Basilique Saint-Pierre, la messe de la Résurrection, puis prononcera sa bénédiction urbi et orbi, « à la ville et au monde ».
Dans les rues italiennes, c’est le calme plat. « Nous n'avons pas de restaurants, pas de touristes, nous n'avons personne », se plaint devant sa pile d'artichauts un vendeur du marché du Campo dei Fiori, dans le centre de Rome. Sur la place Navone, habituellement noire de monde en cette période de l'année, seules quelques personnes promènent leur chien ou passent à vélo.
L'espoir de la renaissance
Il a rappelé la présence, toujours dramatique, du coronavirus. Mais a invité chacun à concevoir l’avenir comme l’espoir de la renaissance : « En ces sombres mois de pandémie nous entendons le Seigneur ressuscité qui nous invite à nous relancer. (…) Sœur, frère, tes attentes ne seront pas déçues, tes larmes seront séchées, tes peurs seront vaincues par l’espérance. Parce que le Seigneur te précède toujours et avec lui la vie recommence ».
Ce dimanche, le pape François célébrera, également à l’intérieur de la Basilique Saint-Pierre, la messe de la Résurrection, puis prononcera sa bénédiction urbi et orbi, « à la ville et au monde ».
Dans les rues italiennes, c’est le calme plat. « Nous n'avons pas de restaurants, pas de touristes, nous n'avons personne », se plaint devant sa pile d'artichauts un vendeur du marché du Campo dei Fiori, dans le centre de Rome. Sur la place Navone, habituellement noire de monde en cette période de l'année, seules quelques personnes promènent leur chien ou passent à vélo.
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