José Anigo, l’ancien entraîneur et directeur sportif de l’OM, a été mis en examen ce dimanche pour association de malfaiteurs en vue d'extorsion en bande organisée et en vue de commettre un crime en bande organisée, selon l’AFP. L'actuel recruteur de Nottingham Forest (L2 anglaise) a été laissé libre sous contrôle judiciaire, a ajouté la même source, confirmant une information du quotidien La Provence.
"Le débat judiciaire est loin d'être achevé puisqu'il reste présumé innocent et que les investigations et recours qui demeurent à réaliser démontreront que cette procédure est contestable sur la forme et sur le fond", a commenté auprès de l'AFP son avocat, Me Emmanuel Molina. Le parquet de Marseille avait annoncé jeudi le démantèlement "d'une équipe de malfaiteurs se livrant à des activités criminelles diversifiées et appartenant au banditisme marseillais", soupçonnée notamment de "blanchiment et extorsion de fonds au préjudice d'établissements de nuit et dans le milieu du football".
L’OM s’est portée partie civile
Parmi les vingt-deux personnes placées en garde à vue dans cette affaire en début de semaine, dont des figures du banditisme marseillais, 17 ont été présentées à un magistrat, selon le parquet. Dimanche matin, le parquet a annoncé à l'AFP la mise en examen de trois personnes dans ce dossier. Selon la Provence, Michel Campanella, souvent présenté comme une figure du banditisme marseillais, déjà détenu, et l'agent de joueurs marseillais Jean-Luc Barresi, ont été placés sous écrou. L'Olympique de Marseille a annoncé vendredi qu'il allait se constituer partie civile dans cette affaire, dont le club pourrait être victime.
En se portant partie civile, "le club veut avoir accès complet au dossier, participer à la manifestation de la vérité et mettre en lumière des pratiques douteuses autour des transferts si elles existent encore", a expliqué à l'AFP l'avocat de l'OM, Olivier Baratelli. Déjà mis en examen début 2019 pour "abus de biens sociaux, complicité et associations de malfaiteurs", José Anigo avait ensuite vu cette mesure levée et avait été entendu comme "témoin assisté".
RMC SPORT
"Le débat judiciaire est loin d'être achevé puisqu'il reste présumé innocent et que les investigations et recours qui demeurent à réaliser démontreront que cette procédure est contestable sur la forme et sur le fond", a commenté auprès de l'AFP son avocat, Me Emmanuel Molina. Le parquet de Marseille avait annoncé jeudi le démantèlement "d'une équipe de malfaiteurs se livrant à des activités criminelles diversifiées et appartenant au banditisme marseillais", soupçonnée notamment de "blanchiment et extorsion de fonds au préjudice d'établissements de nuit et dans le milieu du football".
L’OM s’est portée partie civile
Parmi les vingt-deux personnes placées en garde à vue dans cette affaire en début de semaine, dont des figures du banditisme marseillais, 17 ont été présentées à un magistrat, selon le parquet. Dimanche matin, le parquet a annoncé à l'AFP la mise en examen de trois personnes dans ce dossier. Selon la Provence, Michel Campanella, souvent présenté comme une figure du banditisme marseillais, déjà détenu, et l'agent de joueurs marseillais Jean-Luc Barresi, ont été placés sous écrou. L'Olympique de Marseille a annoncé vendredi qu'il allait se constituer partie civile dans cette affaire, dont le club pourrait être victime.
En se portant partie civile, "le club veut avoir accès complet au dossier, participer à la manifestation de la vérité et mettre en lumière des pratiques douteuses autour des transferts si elles existent encore", a expliqué à l'AFP l'avocat de l'OM, Olivier Baratelli. Déjà mis en examen début 2019 pour "abus de biens sociaux, complicité et associations de malfaiteurs", José Anigo avait ensuite vu cette mesure levée et avait été entendu comme "témoin assisté".
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