Dans la capitale du Kenya, tout a commencé par des tensions autour de factures impayées. La KPLC, la compagnie d’électricité kényane, affirme quele comté de Nairobi a accumulé une dette de plus de 23 millions de dollars. Pour le forcer à régler la facture, l’entreprise reconnait avoir coupé l’électricité dans plusieurs bureaux du comté mi-février. Celui-ci se serait finalement engagé à payer et l’électricité aurait été rétablie.
Mais en début de semaine, une benne à ordures, suspectée d’appartenir à la municipalité, a déversé des déchets devant les bureaux de la KPLC. Une action vue comme un geste de provocation. Le gouverneur de Nairobi l’a qualifiée de « regrettable », affirmant que ce n’était pas intentionnel. Sous le feu des critiques, le comté se défend en accusant la KPLC de lui devoir près de 38 millions de dollars en redevances de servitudes.
Retour sur la voie du dialogue
Depuis, les deux parties se sont engagées à régler leur différend à l’amiable. Mais les réactions pleuvent, car ce déversement de déchets a choqué au Kenya. Au Parlement, des députés l’ont qualifié de « grossier et primitif » et veulent interroger le chef de la police la semaine prochaine.
Une enquête a aussi été ouverte. Plusieurs personnes ont été arrêtées, selon le ministre de l’Intérieur. Lui aussi a fermement dénoncé l’incident. « Les autorités ne peuvent pas agir comme des criminels et s’attendre à ce que leurs citoyens respectent la loi » a-t-il affirmé.
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