La question de la dette est également au cœur des préoccupations du FMI, alors que certains pays du continent africain "sont pris à la gorge" avec des niveaux d'endettement "dangereusement élevés". Kristalina Georgieva estime qu'une réduction au cas par cas de la charge de la dette est "judicieuse" plutôt qu'une annulation générale de la dette. "Certains pays africains s'opposent à une annulation générale de la dette, les bons élèves notamment dont la dette reste raisonnable et qui voient d'un mauvais œil une annulation générale", souligne-t-elle.
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