Des tests ADN sur des défenses d'éléphants ont permis d'identifier d'importants cartels de contrebande d'ivoire, aidant les enquêteurs à poursuivre certains trafiquants, ont annoncé des chercheurs mercredi.
Ces derniers mènent leur étude depuis Mombasa au Kenya, Entebbe en Ouganda et Lomé au Togo.
Alors que la plupart des trafiquants d'ivoire sont poursuivis pour une unique saisie, ces tests peuvent à relier un individu à plusieurs autres cargaisons.
Cela permet ainsi de les juger pour crimes transnationaux, punis par des peines plus lourdes affirme Samuel Wasser, professeur de biologie à l'université de l'Etat de Washington.
Des tests ADN sont menés sur 38 saisies effectuées entre 2006 et 2015, afin de déterminer la provenance des défenses.
Selon le professeur, ces analyses ADN ont été déterminantes dans la condamnation du contrebandier Emile N'Bouke, surnommé le patron et considéré comme le plus grand trafiquant d'ivoire d'Afrique de l'Ouest.
Celui-ci a été condamné en 2014 à la peine maximale au Togo pour possession de 700 kilos d'ivoire ; soit deux ans de prison.
Le commerce d'ivoire a été interdit en 1989 par la Convention sur le commerce international des espèces de la faune de la flore sauvages menacées d'extinction.
Ces derniers mènent leur étude depuis Mombasa au Kenya, Entebbe en Ouganda et Lomé au Togo.
Alors que la plupart des trafiquants d'ivoire sont poursuivis pour une unique saisie, ces tests peuvent à relier un individu à plusieurs autres cargaisons.
Cela permet ainsi de les juger pour crimes transnationaux, punis par des peines plus lourdes affirme Samuel Wasser, professeur de biologie à l'université de l'Etat de Washington.
Des tests ADN sont menés sur 38 saisies effectuées entre 2006 et 2015, afin de déterminer la provenance des défenses.
Selon le professeur, ces analyses ADN ont été déterminantes dans la condamnation du contrebandier Emile N'Bouke, surnommé le patron et considéré comme le plus grand trafiquant d'ivoire d'Afrique de l'Ouest.
Celui-ci a été condamné en 2014 à la peine maximale au Togo pour possession de 700 kilos d'ivoire ; soit deux ans de prison.
Le commerce d'ivoire a été interdit en 1989 par la Convention sur le commerce international des espèces de la faune de la flore sauvages menacées d'extinction.
Autres articles
-
Djibouti: plainte aux Nations unies contre la détention arbitraire d'un ancien ministre
-
Afghanistan: 21 morts dans une collision routière (responsable provincial)
-
Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 31553 morts
-
Mali: les dissolutions d'associations sont une «restriction de la liberté d'expression», selon l'ONU
-
En pleine présidentielle, Vladimir Poutine promet une réplique à des attaques sur le sol russe