Le ter-meeting organisé par le Premier ministre, Ousmane Sonko, samedi 8 novembre 2025, est vivement critiqué par la Convergence des Jeunesses Républicaines (COJER) qui le qualifie de "tera flop". Dans un communiqué, les jeunes de l'Alliance pour la République (ancien parti au pouvoir) affirment que "cette mobilisation qui devait rassembler de l'ordre de 1000 milliards de personnes (tera) a, à peine, attiré 100 000 Sénégalais". Les auteurs estiment que "l'espace ne dépasse guère 3 hectares" et que "même avec 3 personnes par mètre carré, difficile de dépasser les 90 000".
La Cojer décrit une "organisation catastrophique, avec bousculades monstres et brouhaha d'enfer". Le communiqué rapporte que "les images de personnes évanouies ou de personnes âgées malmenées dans la foule sont visibles dans les réseaux sociaux". Malgré les moyens déployés, avec "une logistique de luxe, des bus, par milliers, des militants convoyés de tous les coins du pays", le résultat serait décevant.
Sur le fond, la COJER fustige un discours qualifié de "réchauffé, entre menaces aux voix critiques ou à l'opposition et chantage au Président Bassirou Diomaye Faye". Le communiqué dénonce particulièrement "des contre-vérités flagrantes et des manipulations grossières" concernant le dossier du PRODAC. La jeunesse républicaine affirme que "l'affaire dite du 'rapport du PRODAC' remonte à juin 2018, soit une année entière avant la nomination de Papa Malick Ndour" et que "l'inspecteur Samba Laobé Dieng, auteur présumé du rapport, est décédé en octobre 2018".
Le texte dénonce "les dérives inquiétantes du Premier ministre en congé", accusant un "chef du gouvernement, censé garantir la stabilité institutionnelle, qui passe désormais son temps à insulter la justice, à attaquer des magistrats et à menacer ses opposants".
La COJER reprend l'analyse de Babacar Ba du Forum du Justiciable selon laquelle "si l'Union des Magistrats du Sénégal ne condamne pas ces sorties irresponsables, elle cautionne le discrédit public jeté sur notre système judiciaire".
Enfin, elle reproche à Ousmane Sonko ses "obsessions pour les problèmes, aucun effort de rechercher et de mettre en œuvre des solutions pratiques". Avant de constater pour le dénoncer que "depuis deux ans, les Sénégalais entendent le même disque rayé : 'Le système est pourri', 'On va tout changer', 'Nous sommes les patriotes'".
Les jeunes apéristes soulignent que "les prix continuent de grimper, les factures d'électricité explosent, le chômage des jeunes s'aggrave et les impôts pleuvent sur les ménages".
Face à cette situation, la COJER affirme que "l'APR et ces alliés restent attachées à la République et à la vérité" et appelle à "la responsabilité", estimant que "le Sénégal mérite mieux qu'un Premier ministre populiste en campagne électorale permanente".
La Cojer décrit une "organisation catastrophique, avec bousculades monstres et brouhaha d'enfer". Le communiqué rapporte que "les images de personnes évanouies ou de personnes âgées malmenées dans la foule sont visibles dans les réseaux sociaux". Malgré les moyens déployés, avec "une logistique de luxe, des bus, par milliers, des militants convoyés de tous les coins du pays", le résultat serait décevant.
Sur le fond, la COJER fustige un discours qualifié de "réchauffé, entre menaces aux voix critiques ou à l'opposition et chantage au Président Bassirou Diomaye Faye". Le communiqué dénonce particulièrement "des contre-vérités flagrantes et des manipulations grossières" concernant le dossier du PRODAC. La jeunesse républicaine affirme que "l'affaire dite du 'rapport du PRODAC' remonte à juin 2018, soit une année entière avant la nomination de Papa Malick Ndour" et que "l'inspecteur Samba Laobé Dieng, auteur présumé du rapport, est décédé en octobre 2018".
Le texte dénonce "les dérives inquiétantes du Premier ministre en congé", accusant un "chef du gouvernement, censé garantir la stabilité institutionnelle, qui passe désormais son temps à insulter la justice, à attaquer des magistrats et à menacer ses opposants".
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