La France a annoncé vendredi qu’elle allait « adapter son dispositif diplomatique et consulaire » au Mali, ce qui implique une réduction de ses effectifs dans un contexte sécuritaire jugé particulièrement instable, a indiqué le ministère français des Affaires étrangères.
Dans un communiqué, le Quai d’Orsay explique que cette décision a été prise « au regard du contexte et à l’instar de plusieurs de ses partenaires », rappelant que les États-Unis et le Royaume-Uni ont déjà évacué leur personnel « non essentiel ». Le ministère ne précise toutefois pas le nombre de personnes concernées par cette réduction.
Par contre, Paris maintient son appel, lancé le 7 novembre, à quitter temporairement le pays dès que possible via les vols commerciaux encore disponibles. Il est également formellement déconseillé de se rendre au Mali, « quel que soit le motif ».
En effet, le pays sahélien traverse depuis 2012 une crise sécuritaire profonde, alimentée par les violences menées par les groupes armés du GSIM, affiliés à Al-Qaïda, par les combattants de l’organisation ISIS/Daech ainsi que par des milices communautaires criminelles.
Selon les autorités locales, les groupes armés du GSIM imposent depuis plusieurs semaines un blocus sur les importations de carburant du pays.
D’après des informations rapportées par le quotidien français Le Monde, le GSIM a publié mardi une vidéo de propagande dans laquelle il annonce vouloir intensifier son blocus, tout en avertissant qu’il considérera désormais les chauffeurs de camion comme des « combattants ».
La même source rapporte que dans un autre document diffusé jeudi, le groupe armé appelle aussi les ONG, entreprises, associations et personnalités à « se lever contre la junte au pouvoir. »
Dans un communiqué, le Quai d’Orsay explique que cette décision a été prise « au regard du contexte et à l’instar de plusieurs de ses partenaires », rappelant que les États-Unis et le Royaume-Uni ont déjà évacué leur personnel « non essentiel ». Le ministère ne précise toutefois pas le nombre de personnes concernées par cette réduction.
Par contre, Paris maintient son appel, lancé le 7 novembre, à quitter temporairement le pays dès que possible via les vols commerciaux encore disponibles. Il est également formellement déconseillé de se rendre au Mali, « quel que soit le motif ».
En effet, le pays sahélien traverse depuis 2012 une crise sécuritaire profonde, alimentée par les violences menées par les groupes armés du GSIM, affiliés à Al-Qaïda, par les combattants de l’organisation ISIS/Daech ainsi que par des milices communautaires criminelles.
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